Bercée par l'Orient, poussée vers l'Occident, l'Espagne dans le sang, Paris au coeur, voici l'histoire véridique d'une femme moderne qui vit à contre-courant des idées reçues, et qui refuse de subir.
Merveilleuses ou sordides, rarement fades, elle tire de ses rencontres des leçons qui souvent la portent, qui parfois la blessent, mais qui chaque fois la grandissent. Elle est toujours dans l'attente d'autre chose, de beau, de tendre et de fraternel, de simple et de vrai. Autant dire d'exceptionnel.
Meurtrie par la perte d'êtres chers en déportation, elle s'implique pour que l'histoire ne se reproduise pas. Plus jamais ça, pour personne ! Ses engagements la portent vers l'Espagne républicaine, celle de l'exil actif des vaincus de la guerre civile.
De Prague à Varsovie, où que les circonstances la mènent, elle est bien partout où elle se sent comprise, accompagnée et utile surtout.
Elle poursuit ses rêves d'Absolu en assumant son quotidien professionnel, sa vie de femme et, plus que tout, son rôle de mère.
Autant dire que cette histoire est aussi celle de l'amour d'un fils pour sa mère.
Écorchée par le destin, Elise évoque avec nostalgie et humour ses souvenirs et émotions de l'enfance.
À travers ce récit, elle partage avec nous un passé révolu, ainsi que l'épopée de la guerre 1939-1945, et celle de La Libération.
Mais également son entrée dans le monde des adultes ainsi que ses premiers émois avec Laurent, le jeune homme qui lui tient à coeur.
Romanesque mais aussi coléreuse, ne risque-t-elle pas de tout faire basculer ?
Nos aïeux ont vécu le phénomène de la conscience nationale lors de la libération de Paris, le 26 Août 1944. C'est ce qu'avait exprimé le Général de Gaulle en parlant d'un de ces gestes de la France, qui parfois au long des siècles, viennent illuminer notre histoire. Après la guerre 39/45 nait la génération des baby-boomers qui ne laissera rien au hasard du temps. La reconstruction de la France ne fait pas oublier les maladies telles la diphtérie ou la poliomyélite qui touchèrent de nombreux enfants conduisant la médecine à réaliser des avancées notoires. Par la suite et dès le début des années 60, l'état d'esprit des jeunes commençait à profiler le chemin de leurs rêves. Entre leçons et devoirs d'école, la camaraderie devenait une force vive aidée en cela par l'éducation parentale, la musique, les arts et le sport, sans oublier les filles tant il est vrai qu'elles étaient jolies et sexy.
Au cours des années 60, les adolescents ont fissuré la chape de plomb des longs silences qui maintenait les tabous de l'époque et qui tomberont les uns après les autres. Magie de l'époque entre combats d'idées, souffles d'émotions et de bonne humeur. Ce fut le cheminement d'une merveilleuse période qui durera près de vingt ans. Les mômes des cités vivaient sous l'influence des tempos rock d'Elvis Presley, Gene Vincent et autres rockers qui précéderont la grande et fabuleuse épopée des groupes pop/rock. Les Beatles, les Stones, mais aussi Bob Dylan, Jimi Hendrix et de nombreux autres groupes enflammèrent les coeurs des adolescents pour atteindre leurs plus grands bonheurs... C'était une manière singulière de passionner les jeunes pour soutenir inexorablement leurs idées de changement. En effet, ce fut les coups de gueule d'une jeunesse exhortant leurs revendications sur une vision plus réformiste de la société française. En Mai 1968, la révolte estudiantine avec la classe ouvrière permettait de gagner de grandes avancées sociales. En 1969, la loi sur la pilule contraceptive fut votée puis, en 1975, le Mouvement de Libération de la Femme (M.L.F) relayé par l'extraordinaire combat de Simone Veil permis de faire voter la loi sur le droit à l'avortement. Cette dernière sera suivie par la loi relative au divorce par consentement mutuel. Même si les plus conservateurs ont critiqué ces avancées sociales, il n'en reste pas moins vrai qu'elles auront marqué notre génération et les suivantes.
Depuis cette époque, la France n'a pas connu de périodes aussi déterminantes. En effet, depuis plus de trente ans on assiste à une apathie quasi-générale des différents acteurs de notre société. L'économie française s'abandonne dans un immobilisme récursif. Les investissements et le retour de l'excellence de la recherche devront impérativement accompagner le sursaut français. Sur le plan sociétal, les attentats terroristes aussi surprenants que tragiques ont éveillé des craintes et ranimé la peur de l'autre. Aussi étonnant que cela puisse paraitre, il aura fallu du temps et ces dramatiques évènements pour que les hommes politiques prennent enfin conscience des dangers de l'extrémisme religieux. Depuis plusieurs décennies l'immigration de masse est refusée par les autres continents. Seule l'Europe a ouvert ses portes faisant abstraction des critères d'assimilation, et, au fil du temps, certaines cités de banlieues se sont dressées comme des zones de non-droit. Les agressions verbales et physiques ont porté et portent encore le poids d'une lourde indifférence.
Les attentats terroristes de ces dernières années ont déchiré le coeur des français. Dans ces situations d'insécurité multiples, les citoyens et citoyennes restent inquiets malgré la sérénité convenue des « grands penseurs » qui actionnent à l'envi la sirène de la xénophobie. Depuis trop longtemps les principaux acteurs politiques de la nation, gauche et droite confondues, se sont enlisés dans un profond déni de réalités en laissant bâtir progressivement l'échafaudage du F.N.
Or, chacun sait que dans tous les domaines de la vie, l'obstination annihile le plus souvent la part des réalités et, finalement, à trop vouloir minimiser les vagues, la violence d'un tsunami n'est malheureusement pas à exclure...
Ah ! les joies d'être propriétaire !... Ou comment une personne passe de l'achat d'un studio, vu comme un investissement simple et sûr, à une véritable obsession afin de comprendre des dépenses de chauffage farfelues. De lettres au syndic à l'affrontement au cours de la redoutée assemblée générale des copropriétaires, une femme va se montrer opiniâtre, sûre de son bon droit, mais l'issue de son combat sera-t-elle à la hauteur de ses attentes et de son implication ?
Il fut jadis une terre hospitalière nommée Algérie où les colons se plaisaient, et où chaque homme avait son travail, mais qui plutôt que d'accepter un protectorat engagea une guérilla meurtrière, enregistrée dans la mémoire des eucalyptus et leur ombre fraîche.
Dan Deréans nous présente ici son récit de souvenirs d'A.F.N.
« Quand les hommes vivront d'amour... », cette chanson du québécois Gilles Vigneault pourrait ponctuer les mille vies que Jean-Pierre Farkas a voulu (vous) raconter. Cinquante ans de journalisme : la guerre en Algérie, les colères de Mai 68, la chute de Nixon, les mots du Général, mais aussi les rêves, les peines et les amours de chacun d'entre nous. Ce récit autobiographique est dédié à ses amis de rencontre : Brassens, Tabarly ou Brel, mais d'abord à nous tous qui savons comment l'Actualité sait nous apprendre à faire valser l'Histoire.
Lorsque l'on a le sentiment que le mauvais sort s'acharne contre nous, est-il possible de le contredire et d'être heureux malgré tout ? Greca, tout au long de sa vie, aura cherché à déjouer ce qui ressemble à une malédiction familiale. Victime très jeune de graves crises d'épilepsie, trop tôt orpheline d'une mère aimante, elle ne parviendra jamais à nouer des liens avec ses deux soeurs, ne connaîtra le bonheur auprès d'aucun de ses deux maris et verra s'éloigner sa fille sans pouvoir rien y faire. Sa grande victoire face à la maladie et une belle rencontre lui permettront de garder l'espoir d'avoir enfin droit au bonheur un jour.
« La bible »: vient du mot grec : « TA BIBLIA » signifiant « Les Livres » sous l'apparence d'un volume de 1 000 pages, sa rédaction s'est échelonnée sur 1 000 ans...
« CÉPHAS » signifie Pierre...le christ donne le nom de Pierre à son premier apôtre, Simon-Céphas: ' « Pierre ! Sur cette pierre, je bâtirai mon église »...
Cet opus ! Cette saga que vous allez découvrir... couvre et embrasse les ¾ de ce siècle, de l'occupation nazie de la France, à ce jour, elle est écrite et construite en quatre actes, autour de la vie de Pierre... de la Bonne Nouvelle et de sa révélation...
AUJOURD'HUI, VOUS DÉCOUVREZ L'ACTE I...
LES AMOURS DE L'INNOCENCE...
Votre esprit pénètre dans la vie d'un enfant, né pendant l'occupation nazie de la France, élevé par deux générations, ses parents, ses grands-parents dans une famille pauvre, généreuse dont l'éthique et l'amour étaient leur étendard...
Au travers de l'éducation de son école, de son église, de son village, d'une valeur de principe rigoureuse, pragmatique, laïque, pleine d'amour...et d'espoir...
Vous rentrez dans sa légende, dans le désir d'un gamin, dans la volonté d'un adolescent obsédé à vouloir comprendre la vie... À vouloir comprendre la signification de la sienne...
À découvrir pourquoi ! il est ainsi fait, en réussissant sa jeunesse, sa métamorphose, pour pouvoir se construire, pour réaliser... juste pour lui-même... tous les talents que Dieu lui a remis...
Au travers de tous les travaux qu'il doit accomplir, de toutes les choses qu'il va découvrir, des rivières qu'il devra franchir, face à toutes les rencontres de ses balbutiements amoureux, secrets, sexuels pour grandir, pour arriver au bout de son cycle, pour devenir, enfin ! à 20 ans !...
Un homme ! Un humain ! Un guerrier pour affronter la guerre, il devra être capable de se battre pour survivre !... pour ne pas mourir, pour faire échec au Malin, à son armée de clones, qui veulent le détruire...Le faire disparaître de la vie...Le supprimer, L'effacer de la société pour l'achever... Le tuer... Depuis que sa mère l'a mis au monde, parce qu'il est né comme il est... Et parce qu'il est...comme il est....
Laissez-vous vous embarquer dans ce bateau de « pierre » sans rame, sans gouvernail, sans voile, ni voilure, à la dérive, dans ce roman, comme un conte ou une légende pour y découvrir ce que vous cherchez...
À SUIVRE :
ACTE II : L'ÂME DU CHEVALIER. (La Victoire du Prince de l'amour...) ACTE III : LE PARADIS DU MAL. (L'Enfer des hommes...) ACTE IV : LA BONNE NOUVELLE. (L'Évangile de CÉPHAS...)
La vie et les faits d'arme de Tami Medjbeur (1926-2005), qui traversa son siècle en ayant vécu une multitude d'événements historiques déterminants, méritent d'être portés à la connaissance du public aussi elliptiquement que le plus fidèlement du monde.
Epopée, le mot n'est pas trop fort, quand bien même son intransigeante humilité aurait souffert de cette assertion. Et pourtant...
De sa naissance privilégiée dans ce village colonial de l'Ouest algérien à la fin de sa vie de médecin légiste, intrinsèquement et en tout point universel, Tami Medjbeur n'aura eu de cesse d'oeuvrer à la faisabilité concrète d'une existence qu'il ne conçut, pour lui-même comme pour son semblable anonyme, qu'à partir de l'incontournable et de l'omnipotente idée de justice entre les hommes. Il aura bâti le fondement même de sa vie sur cette profession de foi, laquelle lui valut de vivre l'impensable, un certain 28 janvier 1957, le jour le plus sombre de son existence, son arrestation. Des épreuves particulièrement éprouvantes l'attendront. C'était la guerre d'Algérie. Auparavant, il aura connu la période coloniale et la signature de l'armistice du 8 mai 1945.
Nombreux sont les ouvrages qui ont relaté cette histoire commune aux deux rives de la Méditerranée. Il leur a été quelquefois reproché, non pas la sincérité, mais le manque de vérité. En homme de plume, Tami Medjbeur aura consigné par écrit toutes ses observations ; il l'aura fait avec l'objectivité analytique d'un esprit scientifique strictement mû par une quête absolue de vérité, offrant ainsi au lecteur une vision réelle et bien humaine des événements.
Son parcours personnel, intellectuel et existentiel ne s'arrête pas à cette tranche de l'Histoire. Tami Medjbeur aura connu les joies de l'indépendance, l'éclosion balbutiante de tous les nouveaux espoirs algériens dans ces années d'après-guerre à Oran, ville si chère à son coeur, puis la désillusion et une nouvelle déchirure avec l'apparition et la terrifiante ascension, sur la scène historique algérienne et bientôt planétaire, de l'islamisme.
Par son exceptionnelle ouverture d'esprit, Tami Medjbeur aura sans cesse oeuvré comme le parfait trait d'union appelé à concilier toutes les diverses composantes des deux rives de la Méditerranée.
Rapportée par sa fille, cette biographie s'appuie sur les nombreux écrits de son père, parmi lesquels, entre autres sources de premier ordre, un roman autobiographique, ses carnets de prison, ainsi qu'une foisonnante correspondance personnelle. Ce récit intéressera sans aucun doute beaucoup d'entre vous. Peut-être apportera-t-il à quelques-uns un autre regard sur cette histoire commune ?
Le 25 novembre 2016 mourait Fidel Castro, président emblématique de Cuba depuis plus de cinquante ans. Éternelle incarnation de la révolution pour certains, dictateur et leader autoproclamé d'un clan mafieux pour d'autres, en disparaissant, à quelles perspectives d'avenir le Comandante allait-il laisser son île ?
La réponse à cette question, Antonio Ventura la cherche depuis sa découverte, au début des années soixante, de la belle des Caraïbes, lui qui, très attaché à Cuba et à son peuple, a vu se mettre en place les changements de l'ère postrévolutionnaire, les espoirs, les doutes, le désenchantement, la misère. Incroyable destin que celui de cet Espagnol obligé de fuir son pays sous la menace franquiste et de laisser derrière lui sa famille, citoyen du monde qui a ancré ses nouvelles racines en France, en Bolivie, au Mexique, au Pérou, en Argentine, se laissant porter par d'incroyables rencontres, de l'auteur américain Ernest Hemingway au président François Mitterrand, en passant par Rosario, Martina, Gregorio... autant de figures à la personnalité marquante et attachante.
Tantôt maître d'hôtel respecté dans la haute restauration française, tantôt guide touristique faisant découvrir les plus fabuleux paysages d'Amérique latine, défiant la maladie et les affres de sa vie personnelle, l'auteur nous relate avec un grand courage et une émouvante lucidité les événements dont il a été à la fois l'acteur et le témoin, déterminé à comprendre le sens de l'Histoire et ses contemporains.
Sensibilisée par un tragique accident de son frère Hugo, décédé à l'âge de 14 ans, ce qui éveillera chez Élise une vocation auprès des blessés, des malades.
Ce récit autobiographique écrit par l'auteur, relate son long parcours avant d'atteindre sa voie.
Avec humour et sincérité, elle nous fait partager ses rencontres, ses voyages, ainsi que son long parcours chaotique avant d'atteindre son but : être infirmière.
Sa famille est empreinte de l'absence du père. Élise et son frère seront marqués par cette fatalité.
Avaient-ils une dette à payer ?!
Préface de Jean-Charles Lonné.
Ce livre n'est pas un roman. Bien au contraire, l'auteur capture l'actualité et les évènements qui marquent la France et le monde, mais également sa vie. Il y joint ses impressions et ses colères sous une forme authentique d'écrits qui parfois donnent le frisson.
C'est son troisième et dernier livre de mémoires et, comme toujours, il traite les sujets « cash ». Il n'a pas d'aprioris politique et religieux, ce qui lui permet d'écrire tout simplement ce qu'il pense d'elles et du reste. Il prête attention aux alluvions qui s'en échappent en y installant ses propres sentiments d'espoirs, d'inquiétude et parfois ses rancoeurs.
Il observe, sans caricaturer, les générations qui se sont succédé, celle de la dernière guerre à celle d'aujourd'hui. L'auteur est né durant la période du « baby-boom ». Même si l'on peut remarquer qu'il vit encore avec un brin de nostalgie, pour autant, il ne souhaite pas comparer les générations car, en fait, il les sait totalement incomparables.
Alors Marc Moulin brosse avec franchise ce qui compose la vie des concitoyens et un peu de la sienne. Sans complaisance, il décrit la sociologie française telle qu'il la voit, telle qu'il l'entend, telle qu'elle est.
Son vécu et ses regards sur la société actuelle interpellent notre curiosité et apostrophent nos réflexions.
Histoire contemporaine d'une expatriée africaine vivant en France...
"Le voyage est un prétexte à la rencontre de l'autre qui, quelque part, ailleurs, est le reflet de soi... ".
Un retour au pays dans les villages pittoresques de pêcheurs ouest-africains où : "le fleuve a une âme... et les pirogues sont la jonction narrative d'un ciel qui raconte aux flots ce que les hommes ont rêvé d'y voir flotter..." Le roman explore chez l'exilée, les troubles issus des paradoxes de sa spiritualité. Une aura primitive devenue poison pour ses propres enfants et par ses propres entrailles, car servant d'appui pour infliger blessures et meurtres en son nom. Une aura qui s'effrite, se délite... Désormais confrontée à elle-même...
Face à la perdition annoncée du christianisme occidental au profit de l'islam, ce roman est une voix dissonante : pour qui en réalité sonne le glas ? "La mort ne ferme pas les yeux d'un être par l'âme d'un autre !"
L'auteure a exprimé le désir de connaître ses racines. Elle a voulu déterrer ce qui appartenait au passé, sans blesser personne, ni déranger l'ordre établi.
Si le thème est rebattu, cette histoire n'est pas une histoire qui se répète, mais une histoire qui se prolonge. Son cas, comme tant d'autres, a peut-être servi de valeur exemplaire et de jurisprudence et fait réfléchir les responsables susceptibles d'écouter et de comprendre.
Et, pour raconter son histoire vraie, l'auteure a dû raconter celle de ses parents et grands-parents que la plupart d'entre vous ont sûrement vécue.
Elle a trouvé la sagesse de ne pas condamner et d'avoir la force d'affronter les conflits inévitables de mère-fille et d'admettre que la mère idéale n'existe pas.
Et, comme bon nombre de personnes âgées, elle a eu envie de laisser une trace écrite, afin de conserver un lien plus facile avec son entourage familial, et que le souvenir de la douleur partagée soit moins gisant.
Je m'appelle Hélèna BERSON.
J'ai écrit mon histoire dans le but de donner du courage à tous les accidentés de la vie. Je leur offrirai mon livre afin de leur prouver que seules la force et la volonté peuvent nous aider à nous en sortir !
Bien à vous.
Hélèna
Soledad est le récit autobiographique d'une petite fille introvertie issue de l'immigration maghrébine. Arrivée en France dans les années 50, elle grandira au sein d'une famille nombreuse, modeste à Villeurbanne près de Lyon, ballottée par la double culture qui vit en elle. Affranchie, libérée des dogmes ancestraux, elle trouvera sa place dans la société française où la solitude s'avérera bien présente dans les différentes étapes de sa vie.
René Fabbri est né à Paris en 1934, ses parents ayant fui l'Italie et le fascisme !
Orphelin de mère en 1940, son père étant réquisitionné par le S.T.O., il est déclaré pupille de la Nation.
Son enfance sera ballottée au gré des familles d'accueil !
Après une période d'apprentissage en plomberie zinguerie, il s'engage en 1952 à dix-huit ans dans l'Armée française comme parachutiste.
Envoyé en Indochine début 1953, affecté au 5ème B.P.V.N. il s'illustre au Laos et sera blessé au combat ! Promu 1ère classe, il est cité à l'ordre de la Division et reçoit le 18 mai 1953 la Croix de guerre des T.O.E. avec l'étoile d'argent. (Théâtres d'Opérations Extérieures) Parachuté ensuite sur Diên Biên Phu comme chef d'équipe de voltigeurs, il défend la position sur Eliane 4 attaquée sans répit et soumise à de violents bombardements ; jusqu'au 18 avril 1954, date à laquelle il est à nouveau blessé !
Il est cité pour ce fait d'arme à l'ordre de l'Armée, avec l'attribution de la Croix de guerre des T.O.E. avec Palme, et promu Caporal.
Prisonnier du Vietminh, il fait une tentative d'évasion mais sera repris et interné au camp n° 70 ! Atteint du béribéri (avitaminose B1), très amaigri, René Fabbri est libéré fin juillet 1954, consécutivement aux accords de Genève.
Il sera par la suite élevé au grade de Chevalier de la Légion d'Honneur en 2008.
Je m'appelle Christine F. j'ai 57 ans et j'ai 4 enfants. J'habite Mérignac, en Gironde.
Depuis mon plus jeune âge, j'ai aspiré à un bonheur illusoire, à un conte de fée, tel une princesse et son prince, un beau château avec son donjon, des nénuphars et des cygnes blancs sur un lac tout autour...
Hors, la succession de malheurs, de souffrances physiques, de désillusions, d'évènements poignants, sanglants, ont fait qu'ils se sont évaporés comme neige au soleil.
J'ai puisé, au fond de moi, le courage pour mettre sur papier mon histoire, de la décrire en détail, ce qui m'a permis d'exorciser tout le mal-être que j'ai accumulé, tout au long de ces années. Également, pour me dire que rien était de ma faute, que j'ai été manipulée, trompée, trahie par des personnages cités dans mon roman. .
Certains événements évoqués, dont j'ai été victime, toutes les épreuves que j'ai dû surmonter, sont d'actualité, et si notre société ne change pas, ils le resteront....
Mon livre est aussi destiné à toute femme qui vit ou qui a vécu les événements que je décris, leur dire que rien n'est insurmontable, qu'avec beaucoup de ténacité, de courage, d'un brin d'espoir enfoui au plus profond de soi, la vie mérite d'être vécue.
Mon roman est tiré d'une histoire vraie, la mienne, depuis mes 7 ans jusqu'à ce jour.
De Lyon à Bordeaux, en passant par Paris, Albi, Ajaccio, Châteaudun, Saint-Dié, Tours, Lyon à nouveau, Luxembourg, sans oublier les escapades régulières à Paris et Bruxelles, ce récit autobiographique décrit l'itinéraire à la fois ordinaire et singulier d'un fonctionnaire et magistrat né à l'époque de la libération de la France.
A un moment où prédomine un sentiment général d'accroissement des inégalités sociales, il est heureux que celui qui a eu la chance d'être né dans un certain milieu et à une certaine époque le reconnaisse aussi clairement que l'indique le titre même de son livre. Mais son histoire démontre aussi que la vie réclame des efforts même pour ceux qui sont plus gâtés au départ et que, contrairement à ce que l'on entend souvent aujourd'hui où il est devenu courant de clamer sa hargne contre les élites, les hauts fonctionnaires qui vouent leur temps à l'intérêt général ne sont pas nécessairement des profiteurs du système politique et administratif de notre pays.
En décrivant les impressions ressenties à chaque étape de son itinéraire, tant dans le domaine professionnel que sur le plan personnel et familial, en les assortissant d'anecdotes parfois savoureuses et souvent révélatrices, puis en exposant dans le dernier chapitre les réflexions qu'elles lui inspirent au déclin de sa vie, l'auteur apporte, à travers son expérience vécue, un intéressant témoignage sur l'état et l'évolution de notre société.
Cet ouvrage présente l'histoire d'un enfant appelé Rémele qui, durant la guerre mondiale de 1939-1945, a perdu à l'âge de 5 ans sa mère et son père d'une façon brutale.
Ballotté de proches parents en proches parents, d'un endroit à un autre, il est finalement recueilli avec son petit frère par leurs grands-parents paternels.
La petite enfance de Rémele s'est déroulée en milieu rural, en grande partie sur la montagne du Hohrodberg surplombant la pittoresque ville de Munster, dans le sud de l'Alsace. Son adolescence s'est ensuite poursuivie en milieu citadin à Strasbourg, eurométropole alsacienne, chez les grands-parents paternels.
Le récit de la jeunesse du petit Rémele est rédigé sous forme d'autobiographie. Il nous relate son authentique et émouvante existence jusqu'à l'âge de 12 ans.
Écrire sa vie, ne pas hésiter à se pencher sur un passé de joies et de douleurs afin de trouver en soi la force de se battre contre un fléau qui atteint nombre d'entre nous.
La petite fille des années cinquante, la pensionnaire des années 60, l'étudiante de Mai 1968, l'amoureuse, la mère, la grand-mère et la voyageuse toujours avide de découvertes et de rencontres, je suis une seule et même personne qui a travers les années, les embûches et mes moments heureux, essaie de transmettre son optimisme et sa joie de vivre.
Si vous êtes adeptes de voyages, accompagnez-moi dans le grand périple de ma vie.
En première partie l'auteur développe quelques « histoires » cocasses en accentuant un tacite oubli de la candeur. Il définit le contexte libertaire de sa jeunesse en donnant un aperçu de quelques aventures amoureuses éphémères parfois originales. On peut le dire ainsi... Critiqué, il le sera, peut-être même détesté par une partie de ses lecteurs. Malgré tout, il a écrit en aménageant ses souvenirs comme s'il voulait rendre hommage à tous les « sociétaires » de sa génération.
Pour beaucoup de jeunes, la décennie 1960 fut une époque extraordinaire alors que la jeunesse ne possédait rien mais espérait tout... Par la suite, les « trente glorieuses » auront marqué une période captivante, exaltante même, en cautionnant ainsi une destinée permettant de croire en l'avenir.
Aujourd'hui la jeunesse a les constituants pour être plus heureuse, malgré tout elle est moins enchantée face à la situation de l'emploi et d'une société qui la rend inquiète. Pourtant, c'est elle qui fera la France de demain. L'auteur croit en elle et en son dynamisme, mais il définit la société actuelle comme très différente de celle des années 1960/70. Il évoque sans concession le monde d'aujourd'hui, la politique et ses acteurs.
Puis, le printemps 2020 marquera un épisode dramatique dans la vie des peuples. La violence de la « Covid19 » provenant de Chine a frappé le monde entier. Marc Moulin rend hommage aux personnels de la santé, leur dévouement et leurs sacrifices.
D'une nature optimiste, l'auteur craint le plus grand désordre pour ne pas dire autre chose... Ce dernier livre annonce un congé définitif avant lequel il dévoile ses espoirs et ses inquiétudes. Il est soucieux de constater la dégradation de la France dans la profondeur du temps...
Culpabilité, terreur, humiliations, coups... voilà ce que Jeanne subit depuis sa petite enfance.
Totalement isolée, elle trouve qu'elle a une chance inouïe de pouvoir étudier et ne cesse de donner des preuves de son amour inconditionnel à ses parents.
Pourtant, ces derniers n'hésitent pas à la sacrifier en l'obligeant à épouser un homme inculte et brutal, pour servir leurs intérêts mercantiles.
Contre toute attente, malgré les violences physiques et morales qu'elle endure et les maladies qui en résultent, elle réussit au fil des années à gérer une société, à obtenir au péril de sa vie le divorce d'un mariage arrangé, et à décrocher, tout en travaillant, un deuxième diplôme universitaire.
Ce sont, entre autres, les combats de cette jeune femme que ce livre relate.
Cependant, le sentiment de culpabilité que connaît Jeanne depuis l'enfance est toujours ancré au plus profond d'elle et il en fait une proie fragile.