À mon corps soignant est le récit autobiographique d'une médecin généraliste touchée par la maladie (un cancer du sein). Elle y relate ses questionnements de patiente, « de l'autre côté du bureau », ses doutes, ses incertitudes, ses peurs, ses joies, ses espérances. La maladie finit par être une initiation au travers de laquelle l'autrice grandit, apprend, et modifie son regard sur le monde et sur l'univers médical et soignant. C'est aussi et avant tout un très beau témoignage de vie, au travers des différents piliers qui l'ont aidée à supporter la maladie et les traitements : l'écriture, la marche, la méditation, le jeûne, et son tambour-médecine.
Méli-mélo de bribes de vie rétrospectives et ébauches de points de vue en contrepoint.
Cahier de souvenirs abordant petite enfance, adolescence, études, famille, carrière professionnelle, retraite...
Prélude, évolutions, ruptures, zigzags, éclairs de lucidité, prises de conscience, bilans, réflexions au fil de l'eau, changements de décors, autant d'étapes et de moments clé qui en émaillent le déroulé.
Parcours de vie, à l'entrée dans sa saison automnale.
Périple sur soixante et quelques années, tentation autobiographique subrepticement romancée et agrémentée d'un brin d'intimisme.
C'est cette improbable narration que je vais entreprendre ici, en commençant par le premier quart de siècle dans le présent ouvrage, narration que je prévois de publier en trois parties, puisque ce privilège m'est apparemment accordé par la grâce de mon éditeur.
Mon métier de médecin est de proposer mes services à ceux qui viennent me demander des soins.
Certaines de ces rencontres m'ont particulièrement touchée, et j'ai eu besoin d'en transmettre la substance, dans le plus strict respect de la confiance qui m'a été donnée et du secret médical. J'ai voulu témoigner de ce que je voyais du monde par ma fenêtre.
Ce livre est aussi l'histoire d'un secret, de mon cheminement, et de la naissance d'une profonde amitié.
Parce qu'un livre ne suffisait pas à l'expliquer, voici la suite de mon combat...
À 34 ans, j'étais une jeune femme pleine de vie, sportive, vivant une vie familiale et professionnelle harmonieuse. Le 13 février 2004 ma vie a basculé. Victime d'un AVC j'ai dû me reconstruire à partir de rien tant sur le plan physique que sur le plan psychique. À force de volonté, chaque jour est un combat, pour retrouver un peu d'autonomie et profiter de la vie. Si mon combat peut servir à d'autres personnes alors lisez moi !
Et la vie continue...
Il y a cinq ans, au moment des fêtes de fin d'année, j'apprendsque j'ai un cancer. Pendant les jours qui suivent sur monlit d'hôpital voyant ma vie défiler devant mes yeux, j'ai eul'impression que cette vie avait été bien remplie et que je nel'avais pas trop mal réussie.Né en 1946 avec ma soeur jumelle, mon enfance fut heureuseavec des parents formidables mais d'une vie très simple etcampagnarde après un CAP de menuisier je vais aller dansl'usine où mon père travail , un service militaire où je termineraisous officier et aussitôt mon mariage avec Annie, l'annéesuivante mai 68. Après les grèves je suis obligé de quitter cetteentreprise et là à 22 ans je refais une formation d'ébéniste, lanaissance de notre fils et la construction de notre maison.En 1978 la création de notre entreprise avec Gérard mon petitbeau frère et en 1980 la construction de notre premier atelieroù la vie fut heureuse et enrichissante. Malheureusement en 1989 une association avec un personnagequi va nous emmener dans un tourbillon d'ennuis et nous briser10 ans de notre vie.Après des moments difficiles nous remettons l'entreprise surpieds, et nous allons exporter dans le monde entier en nousfaisant un nom sur le marché du meuble.Viendra la retraite où je vais avec mon épouse me retirer àLyon prés de notre fils et petit fils. En écrivant ce livre je n'ainullement l'intention de m'ériger en modèle mais simplementde laisser mon modeste témoignage à cette jeunesse qui secherche. Comme pouvaient le faire nos ancêtres .Je veux simplement expliquer que la vie n'est pas qu'un fleuvetranquille, et que si on considère que la vie que l'on a reçu à lanaissance ne nous convient pas eh bien avec un peu de volontéet beaucoup de courage on peut l'améliorer sensiblement.
Après avoir monté une association loi 1901 pour soutenir et défendre les Forces de l'ordre et dénoncer les effets néfastes de la RGPP, un système se mettra en place pour me nuire et une retraite pour invalidité me sera signifiée sur la base de faux en écriture et de fausses informations.
27 années de bons et loyaux service tomberont dans le néant.
A ce jour, la Police est dans tout ses états, telle une maison sur le point de s'écrouler...
Il est des rivages que l'on atteint péniblement après des mois et des années d'errance. Chercher une terre accueillante est parfois un voyage sans espérance.
Et quand la maladie - ici psychiatrique - jalonne de nombreuses années de luttes et combats au quotidien pour tenir debout, alors il faut garder espoir qu'un jour arrive où l'on peut enfin se poser, et cesser d'errer sans but...
Errances relate ce parcours difficile.
Après ma «Chronique de San Francisco», j'ai quitté l'Éducation Nationale sans tambours ni trompettes pour vivre une autre période de ma vie, celle, (bénie!) de la Retraite; et après un détour en Amérique latine, je suis rentrée en France où j'ai trouvé une p'tite maison avec un p'tit jardin, et j'ai commencé une p'tite vie tranquille... enfin, pas tant que ça! vous le verrez en lisant la suite de mes...Nouvelles-z-Aventures!
Fruits de la chance est un roman généalogique, une fresque familiale, au coeur du sud de la France, à la fois authentique et objective, philosophique et poétique, culturelle et romantique. Une saga familiale autour d'un médecin de famille, une jardinière philosophe, une femme fidèle, des meuniers et des paysans du XIXe siècle, un poilu écrivain, une bourgeoise dépressive, un déporté têtu, un rugbyman franc-maçon, un maire vigneron, une mère méchante, une soubrette espagnole, un enfant capricieux... À travers des époques où les gens croyaient en l'avenir, l'éducation, la justice, Dieu ou la science, ce livre témoigne des membres d'une famille originaire du Midi. Des histoires de naissances, de renaissances, de voyages, de transmissions, de complicités, de terres, de puissances, de curiosités, d'amours, de croyances, de nécessités, de paradoxes, de nature, de vivants et de morts; une succession de récits, de personnages et de morales qui, bien que m'appartenant, portent avec tendresse, des valeurs universelles.
Enfant illégitime du début des années 60, je n'avais pas le droit d'exister. Mon père, cet illustre inconnu, s'est défilé pour conserver sa belle réputation de chirurgien bordelais. Ma mère n'a jamais cru bon de me garder près d'elle et m'a confiée à ses parents, à 700 km. Ma grand-mère, qui vivait comme au siècle dernier, s'est fait un devoir de me cacher et de « me dresser », par peur du jugement. J'ai donc vécu pendant plus de 50 ans avec des principes et croyances erronés. Comment se construire, lorsqu'on est l'enfant de la honte ?
Ma vieille maison israélienne ne disposant d'aucun abri, je vis les alertes avec un certain fatalisme. L'année dernière, lors d'une de ces alertes, des ouvriers arabes travaillaient dans mon jardin pour le compte de la mairie et le plus jeune d'entre eux, de l'âge de mon fils, s'est figé en entendant la sirène et j'ai lu l'inquiétude dans ses yeux. Alors, pour lui, je leur ai proposé d'entrer s'abriter dans l'escalier et du coup j'y suis allée avec eux. Nous avons entendu le boum blottis les uns contre les autres, tous en rempart autour du petit.
Quand le silence est revenu, j'ai servi du jus de fraise pour adoucir les coeurs et nous sommes sortis siroter nos verres ensemble au soleil.
Du missile intercepté par le dôme de fer ne restait qu'un petit nuage blanc fanfaronnant dans le ciel très bleu de mon jardin.
Alors nous avons tous sorti nos portables pour immortaliser l'escalier, le jus de fraise, la vie, que sais-je et j'ai dit, c'est quand même extraordinaire d'être là tous ensemble, trois arabes et une juive à photographier les restes d'un de vos missiles auquel nous avons échappé.
Mais qu'est-ce que tu racontes un de nos missiles, nous ne sommes pas palestiniens !
Les arabes israéliens ne sont pas des palestiniens ?
Mais pas du tout ! Nous sommes israéliens et nous n'avons rien à voir avec les palestiniens.
Je me suis confondue en excuses, mais ces charmants messieurs, plus amusés que contrariés, m'ont rassurée t'inquiète, tu n'es pas la première à confondre.
J'ai compris ce jour là que décidément, non, la situation ici n'est pas simple, mais que tant qu'on se blottirait ensemble on aurait peut-être une chance...
De l'odeur du jasmin et de la passiflore du bled de notre jeunesse, nous passons à l'odeur de la pomme mélangée à l'herbe fraîchement coupée de la verte prairie de notre seconde vie. De salam labesse à qu'es aquo, il en aura fallu du temps pour nous désimprégner de l'un pour nous imprégner de l'autre ! Une succession de rejets avant l'adaptation définitive de notre nouvelle culture nous obligeant à fixer nos drageons racinaires ici, après la perte des êtres chers qui ont souffert pour nous laisser l'empreinte de leur passage. Les souvenirs lointains de notre enfance perdent la couleur qui animait nos parents et grands-parents. J'ai souvent entendu dire lors de la perte d'un ancien rapatrié, « c'est la Tunisie qui s'en va avec elle ou lui ». Je dois à mon tour et plus que tout autre, affermir mes racines pour fortifier l'arbre qui porte mes fruits. Le thé à la menthe et les dattes, sont définitivement occultés par les yaourts liquides et les boissons énergétiques... Quoique !
Jean-Claude Hubert, ancien professeur d'Histoire-Géographie à la retraite, ancien militant à la CFDT, fut toujours sensible aux événements qui survenaient en Amérique latine, d'autant plus que sa femme, Christiane, avait créé le Comité Chili Lensois, suite au coup d'état du général Pinochet. Ayant beaucoup espéré dans cette révolution démocratique que mena Salvador Allende, ils furent évidemment effondrés quand ce 11 septembre 1973, ils apprirent son assassinat et par la suite, l'immonde répression orchestrée par ce régime dictatorial. La solidarité ne pouvait être que leur seule réponse, pour aider celles et ceux qui en furent les victimes. Evidemment, quelques années plus tard, la révolution des « muchachos », en 1979, lui apporta une nouvelle lueur d'espoir, celui qu'un peuple puisse se libérer d'une dictature et s'engager dans un processus révolutionnaire original dont il disait dans un article de la Voix du Nord, paru en septembre 1983, après son voyage : « L'expérience qui commençait alors m'a intéressé dans ce sens où l'ensemble de la population s'est mobilisée pour renverser un dictateur et depuis, conservateurs et libéraux jusqu'à l'extrême gauche sont derrière le F.S.L.N. (Front sandiniste de libération nationale). De plus, dès le départ, il était clair qu'il existait une volonté de mise en place d'un régime pluraliste et il devrait y avoir des élections en 1985. Par ailleurs, le principe d'économie mixte, mi-étatique, mi-nationalisé, m'intéressait également. Le secteur d'Etat regroupant les biens de Somoza et sa « famille », les grandes propriétés, les transports, les banques et la grande industrie. Enfin, une initiative importante a été prise au Nicaragua : le non-alignement. » C'est pour toutes ces raisons qu'il s'engagea dans le Comité de solidarité avec le Nicaragua et qu'avec cinq autres nordistes, il participa, durant l'été 83, à une brigade de solidarité dont le but était de soutenir financièrement et de participer avec « leurs bras et leur sueur », à la construction d'une école à San Marcos, petite ville proche de Jinotepe, à 40kms au Sud de Managua. C'est ce plongeon dans la réalité quotidienne de la révolution sandiniste qu'il a retranscrite au jour le jour et qu'il livre à l'état brut, quelques années plus tard. En effet, comme il le dit dans sa préface, pendant 30 ans, ces deux carnets de notes du journal qu'il a écrit lors de son passionnant séjour de solidarité avec le peuple nicaraguayen sommeillaient dans son bureau, sans jamais avoir été oubliés dans sa mémoire. Et il fallut un «aiguillon« pour qu'il les «réveille« et tienne sa promesse de témoignage.
La vie oublie-t-elle de préparer l'adolescence à la rencontre de l'amour ? Ou bien est-ce cette rencontre vierge de tout préjugé, qui forge les coeurs de celles et ceux qui aimeront avant tout ?
Dans les cendres de l'amour. Comme une chenille au soleil, la lumière d'une fille sans pareille pousse Max à sortir du cocon de ses quinze ans. Quand il lève les yeux sur Isabelle , son coeur de paille n'est pas assez armé : il ne peut ni prévoir, ni résister à l'incendie qui le gagne, et qui doucement le consumera. Chevalier sans armure ayant au coeur le temps des troubadours et Damoiselles, Max s'élève seul au sommet d'un amour inconditionnel. Dans sa secrète brûlure endurée, il en perd la raison. Dans les cendres de cet Amour, il devra choisir entre vivre ou mourir.
Un jour, un ami blogueur m'a offert une chanson sur YouTube et m'a demandé de l'écouter.
" Qu'il en soit de mon regard d'enfant, d'adolescente ou d'adulte, j'ai toujours pu observer que la vie est courte et que l'on se doit de savourer chaque instant..."..
Le parcours éprouvant d'une femme, le combat transperçant d'une mère... Une maman amputée, une maman déchirée, une maman qui a connu le deuil de son enfant, une maman qui lève les voiles sur un sujet des plus tabou pour que les femmes, les mères à l'histoire semblable se sentent moins seules, se sentent épaulées et comprises. Partant de sa dérive et allant jusqu'à sa renaissance, un chemin parsemé d'embûches avec ses anecdotes, ses sentiments en fonction de la période qu'elle vit, la façon qu'elle a emprunté pour se relever...
Ce livre est le témoignage affectif d'une rencontre insolite et le remerciement d'une femme à un homme pour l'avoir épaulée dans sa reconstruction après avoir été plaquée par son mari et après avoir touché les affres du désespoir, notamment à travers l'alcoolisme.
Relier à 18 ans, seul en moto, la Laponie à l'Asie Mineure, visiter en Vélosolex les Caraïbes et faire ensuite deux fois le tour du monde ne sont que le prélude de cette « double vie » originale, que l'auteur et son épouse vous font ensuite partager.
La première est professionnelle. Tandis qu'elle ouvre des magasins inédits, il lançe avec succès son cabinet de conseils et vous fait découvrir des faces cachées de multinationales et de banques. S'il enseigne seul à la fac et écrit ses bouquins, c'est ensemble qu'ils jouent au Monopoly, grandeur réelle, abordant l'immobilier autrement.
Leur seconde vie, menée en parallèle, les transforme en « romanichels » à temps partiel. Parcourant le monde, au départ en camionnettes, ils vous entrainent en des aventures peu courantes. Vous découvrirez ainsi de l'« intérieur » quelques aspects inédits de pays étranges ou lointains. Des anecdotes nombreuses en éclairent des aspects humains ou insolites.
Comprendre enfin ce qu'étaient leurs ancêtres, des immigrants, hors du commun eux aussi, vous fera peut être deviner d'où proviennent leurs comportements atypiques.
L'historien met les évènements en perspective pour écrire l'Histoire (avec un grand H). Nous trouverons ici l'histoire (avec un tout petit h) vue au travers du regard d'un enfant, avec sa sincérité mais aussi sa naïveté.Bien entendu cet enfant, lui, ne savait pas qu'il n'était qu'une particule élémentaire parmi les myriades de ces particules qui constituent le tissu de l'Histoire. Il ne savait pas non plus qu'il traversait une époque de bouleversements. C'est au cours de ces vingt premières années de sa vie -1933 / 1953 - que, petit à petit, à travers les péripéties qui émailleront son existence il prendra conscience de cette situation. Il atteindra ainsi, après un cheminement quelque peu tortueux, l'objectif fixé depuis toujours par la famille : accéder au prestigieux métier d'instituteur qu'avait si bien illustré le mythique grand-père.
Je suis soumise....
Dans cet ouvrage, je vous fais part de mes premières expériences et de mes ressentis lors de mes débuts dans le monde du BDSM.
Les faits relatés, je les ai réellement vécus.
Je vous livre ici mon journal intime...
ATTENTION CERTAINS PASSAGES SONT CRUS ET UNIQUEMENT DESTINÉS À DES ADULTES AVERTIS.
Je raconte l'itinéraire que j'ai suivi de mon abandon à l'adoption en passant par ma construction à la recherche perpétuelle de mes origines. Je suis tel un arbre qui grandit comme il peut sans avoir de racines et qui m'en fabrique par l'apprentissage de la vie et de l'humain.
Plus qu'une heure. Je vais bientôt devenir la dernière des soixante-trois personnes à démissionner avant moi.
Aucun licenciement. Pas l'ombre d'une rupture conventionnelle promise. Elle s'y refusait catégoriquement. L'école, tu l'aimes ou tu la quittes, mais toujours dans l'intérêt des jeunes.
Elle me fait appeler par Jean. Lui aussi, c'est son dernier jour. Elle l'avait cuisiné pendant cette longue semaine, prétextant qu'il faisait le mauvais choix.
Assistant de gestion, il avait été recruté en Contrat Pro. BTS assistant manager. Pour se justifier, il avait pleuré de nombreuses fois qu'il voulait un poste dans les ressources humaines. Bien loin de ce qui avait été convenu au départ. L'établissement ne lui serait qu'un frein de plus. Une entrave.
Plus que quarante-cinq minutes. Le 27 juillet 2013. Mon anniversaire était tombé dans les oubliettes. Je contemple les étagères blanches. Quelques sujets d'examens et comble du moment, je retrouve une des premières fiches de travail sur les sorties des apprentis. Le rouge « A revoir ! ». Les marques « impossible ! ». Comme elle aimait montrer sa toute puissance.
Quelques minutes. Une vingtaine. Juste le temps de me souvenir de cette matinée de Juin 2009.
Depuis les années 1960 le karaté s'est développé dans le monde grâce au début à des démonstrations et un côté spectaculaire dans la plupart des cas qui est à l'opposé du karaté originel. En réalité, on ne dit pas « karaté » mais « karaté do » car il s'agit d'une discipline traditionnelle plus ou moins secrète venant d'Okinawa, une petite Ile japonaise qui a longtemps été chinoise.
Le « do » dans « karaté do » signifie tradition et apprentissage d'une sagesse ; c'est un art de vivre ne recherchant pas le côté démonstratif.
Jacques Tapol, est le premier Champion du Monde français de la catégorie mi-lourd en 1986 à Sydney ; sa carrière sportive finie, il se consacre ensuite à l'enseignement pour devenir un professeur exigeant et plein d'humour.
« Karaté et petits satoris » n'est pas un livre de techniques mais de réflexions simples qui s'adresse à des pratiquants et des non pratiquants.
Il est parsemé d'expériences, de duels épiques, de grandes réussites et d'échecs cuisants, comme dans la vie.
Les « petits satori » sont les expériences et enseignements nés de ce parcours original.