Se déplacer pour avancer / Rechercher constamment une larme de bonheur, une lueur de progrès / La vie offre ses clefs, / Derrière chaque porte, un conte de fées / On fait son chemin, pas à pas, sans se soucier / Hélas, un moment fatidique vint / Nul ne peut échapper à son destin / Les langues se délient, les sentiments s'entremêlent / Les situations deviennent claires et les secrets se révèlent...
Née en 1936, Rose-Marie va connaître une enfance rude et difficile entre la maladie et une maman sévère. Mais c'était l'époque... Sa jeunesse a été perturbée par un viol, qui s'est ensuivi quelques jours plus tard d'une agression sexuelle par vengeance, exactions toutes deux passées sous silence.Prédestinée à être couturière, sa vie a changé lorsqu'elle a rencontré Georges Lefetey, alors jeune boulanger. Elle a consacré sa vie à la boulangerie et aux boulangères, pour lesquelles elle s'est battue afin d'obtenir une formation pour ce métier que la plupart découvraient avec le mariage et une juste reconnaissance de leur place dans l'entreprise. Ce dévouement a valu à Rose-Marie Lefetey d'être reconnue par ses pairs, d'être décorée de la Légion d'honneur et de recevoir de nombreuses autres nominations.Mais tout a basculé en 2001. Rose-Marie a vécu des moments difficiles en perdant tout ce qu'elle avait, se retrouvant à la rue à cause d'un mari flambeur et ludopathe. Sa force et sa détermination lui ont permis de se reconstruire et de devenir une femme heureuse et accomplie.Auteur de huit ouvrages et encore chef d'entreprise à 82 ans, Rose-Marie continue d'exercer sa passion : transmettre son savoir-faire. Comme elle le dit toujours : « Vive la vie ! ».
« Un mois encore à être assignés à résidence, et plus si vous êtes vieux. »Découvrez le journal d'un simple citoyen, écrit entre mars 2020 et juillet 2021, durant cette étrange « covidie » surgie de nulle part et bousculant nos vies, dans un monde déjà ébranlé par des enjeux sociaux, politiques, économiques et environnementaux.Assistez aux interrogations quotidiennes de l'auteur entre angoisses, coups de gueule et espoirs, lutte de son épouse contre un troisième cancer et souvenirs du monde d'avant avec, ressurgissant en permanence, une interrogation sur l'état de la démocratie.Sa petite fille découvrira son journal juste avant la campagne présidentielle, et elle aussi chantera à son tour « Imagine » en pensant au monde de demain qu'elle devra inventer.Jean-Claude Lemasson commença sa carrière professionnelle à l'âge de 17 ans en tant qu'employé de bureau, avant de la terminer dans des fonctions de direction nationale. Durant onze ans, il prend part à différentes missions d'expertise en Roumanie, en Ukraine et en Azerbaïdjan.À l'âge de 76 ans, il entreprend la rédaction de son premier ouvrage : Journal d'un citoyen confiné déconfiné.
Anne était infirmière est le témoignage de l'auteure après trente-cinq années de service en milieu hospitalier. De ses premiers jours à l'école jusqu'au dernier de sa carrière, elle fait le récit de son engagement, de son amour du métier mais surtout de la joie de contribuer à sauver des vies. Entre anecdotes drôles et difficultés du quotidien, découvrez un regard inédit sur une profession en constant changement au fil des années. Cet ouvrage se veut un témoignage et un testament. Peu de temps avant de terminer sa carrière, Hélène KERLEC a décidé qu elle coucherait sur papier son parcours professionnel afin de raconter ses souvenirs. Elle livre ainsi un bilan de son expérience. Pour faire face aux obstacles, à la fatigue et aux souffrances rencontrées, elle trouve son équilibre dans l écriture certes, mais aussi auprès de sa famille, de ses amis et dans ses passions : la randonnée pédestre, l'amour de la nature et la musique.
Dans cette école primaire, il y a dix classes.
Dans l'une de ces classes, douze élèves mènent de leur mieux une vie à l'équilibre fragile. Douze élèves « extras-ordinaires », portés par un groupe classe qu'ils ont intégré, pour la plupart, depuis plusieurs années. Avec eux, je vais vivre un événement d'une intensité si forte qu'il va bousculer ma vie, comme la leur, et s'ancrer dans nos mémoires.
On dit que dans les grands jours les enfants sont des hommes. Venant de ces enfants-là, c'est époustouflant !
Le jardin d'Anaël est un livre très particulier. Comme un besoin incontournable, je devais revenir sur un événement vécu dans l'une de mes classes d'enfants en situation de handicap, un événement d'une intensité si forte qu'il est inscrit à jamais en nous.
Écrire tout d'abord comme une thérapie pour me permettre de prendre du recul, ouvrir mon champ de vision, mieux appréhender et comprendre le ressenti et les réactions de chacun.
Écrire pour faire connaître ces enfants « extras-ordinaires ».
Écrire pour partager ce moment de vie, car partager c'est aider à comprendre et à se construire.
Dès l'adolescence, alors que la vie ne devrait être qu'insouciance, rêves et bonheur, Camille ressent les premières douleurs d'une maladie qui lui sera finalement diagnostiquée à l'âge de 16 ans.
C'est brutal, inimaginable que l'on puisse lui annoncer qu'elle est atteinte d'une polyarthrite rhumatoïde, cette étrange maladie, inconnue dans sa famille, d'autant que les rhumatismes, dans sa tête, ce sont des histoires de vieux. Preuve en est, elle est la seule gamine à traîner dans les salles d'attente chez les spécialistes.
Tout s'enchaîne très vite, la douleur est omniprésente et les poussées inflammatoires violentes au point qu'elle se retrouve incapable de se coucher, de se lever ou de tenir un verre ou une fourchette pour s'alimenter. Elle craint une descente aux enfers mais elle est forte. Son immense courage domine dès que les douleurs s'estompent.
Avant tout ça, elle était sportive, et, très inspirée par les aventures de son idole, Nicolas Vanier, devenu son ami, elle décide de faire un périple dans le Vercors avec sa jument « Belle ». En parallèle, elle crée l'association « Bell'espoir » pour récolter des fonds pour la recherche médicale sur les maladies rhumatismales inflammatoires.
Ce voyage, ce défi, c'est sa première victoire contre la maladie. Chaque soir elle écrit le récit de la journée pour en faire ce livre vendu aujourd'hui par l'intermédiaire de son association « Bell'Espoir » au profit des tous les malades.
Avril 1992. Alex, un gendarme français, part pour sa première mission en Asie sous le mandat des Nations Unies. Il s'apprête à porter le béret bleu, symbole de la paix. À cette époque, nul ne sait ce que ces gendarmes partent faire au Cambodge... Le nom de cette mission: UNTAC (United Nation Transitional Authority Cambodia). Dans la jungle étouffante de la région de Kampong Cham, Thea Rith, un jeune Khmer rouge en lutte pour sa liberté, se bat contre le gouvernement, l'armée, la police, les animaux, les éléments, la faim, la soif. Son combat, mené avec ses frères d'armes, se déroule dans la clandestinité. Ce récit chronologique et authentique de longs mois passés au Cambodge raconte la vie de deux êtres que tout sépare. Leur rencontre permettra-t-elle d'unir leurs forces pour que la paix revienne ? Alexandre Zanieri est un ancien commandant de gendarmerie, sportif exigeant, marathonien et traileur. Pour lui, le sport est devenu comme une drogue. Mais courir derrière quoi ? Derrière qui ? Une première mission à l'étranger, au Cambodge, bouleverse sa vie, ébranle toutes ses certitudes, ses croyances. À partir de cet instant, il n'a plus qu'une envie: repartir toujours et encore. D'autres missions ont suivi, toutes enrichissantes, apportant çà et là dangers, aventures et découvertes. Ses missions, son sport, ses voyages à travers le monde, il peut tout concilier. Sa devise:"Toujours aller voir derrière la colline"
Je suis né en Lorraine, très peu d'années avant la Seconde Guerre mondiale. Aujourd'hui, nous sommes en 2013 et je regarde le chemin parcouru. C'est déjà un long chemin, semé d'embûches. La vie n'a pas toujours été facile.
Aujourd'hui, j'éprouve le besoin de l'écrire noir sur blanc, d'évoquer toutes les périodes de cette vie qui ont laissé une trace.
Rires, larmes, joies et peines : tout ce que nous réserve une vie hors du commun.
Les séances d'électrochocs se terminent, mon fils a la mort dans les yeux, je le vois terrassé sur son lit d'hôpital, va-t-il me reconnaître ? Pourtant, la schizophrénie paranoïde n'a pas encore gagné. Après des mois d'errance dans la drogue et la délinquance, la violence, la terreur puis les bouffées délirantes et enfin les hospitalisations, qu'est-il devenu ? Je comprends ce jour-là pourquoi je suis père.
Quand Julien réapprend à écrire, il a dix-sept ans. Malgré les assauts violents et répétitifs de ce mal, l'amour de sa famille, la qualité des soins, les voyages et les aventures ainsi que de belles rencontres l'accompagnent sur son chemin de croix. Avec une énergie fantastique et des vertus retrouvées, il forge sa résilience. Il devient un homme doué d'une intelligence émotionnelle remarquable et d'une grande sensibilité qui lui permettent de retrouver une vie sociale et de créer son entreprise. Après tant de souffrance et une si grande détresse, il était impossible de prédire une telle réussite, une véritable résurrection...
Après le décès de son père en 2003, l'auteure a recherché la trace de ses ancêtres. Grâce à des albums de photos, des archives, elle met en forme un arbre généalogique afin de retrouver l'empreinte génétique des siens. Aujourd'hui, ces recherches lui ont permis de raconter leur vérité, creusant ainsi dans les sillons du passé. L'écriture a permis une prise de recul sur les aléas de la vie, et lui donne enfin le droit de pleurer, de s'exprimer, de laisser libre cours à sa souffrance devenue légitime.
Ce livre renferme un terrible secret de famille, une remise en question perpétuelle.
Le temps passe, la douleur s'estompe et les traces restent.
« Aide-toi, le ciel t'aidera ! » Lors d'une interview du président Pompidou, on lui demanda une définition du bonheur... Après avoir réfléchi quelques minutes, le président répondit : « Le bonheur... c'est de faire le métier que l'on aime. » Et pour moi, ce fut le cas. Bien que d'origine très modeste (mon grand père était berger, mon père garçon de café, ma mère sans profession), j'allais à l'école communale, puis au collège, où je réussis à faire des études secondaires correctes. Puis à la faculté, je fis des études médicales jusqu'à ma thèse. Je continuais en me spécialisant en anesthésie réanimation. Mais pour faire ce parcours, il m'a fallu travailler pendant onze ans, sans prendre de vacances, en acceptant tous les travaux qui se présentaient à moi (laver des voitures, démarcher à domicile, travailler le soir dans une menuiserie, prendre des gardes de nuit dans des cliniques... et pratiquer, dès la première année, des remplacements d'anesthésie) aussi bien les week ends, que le jour ou la nuit ! N'est-il pas dit quelque part : « aide-toi, le ciel t'aidera ! » Il m'est arrivé assez souvent de faire 35 heures en deux jours... Quelquefois plus. Étant d'une intelligence moyenne, n'ayant pas une excellente mémoire, je devais travailler beaucoup plus pour acquérir les connaissances nécessaires à l'obtention de mes diplômes. Ce qui m'animait fortement, c'était d'arriver à suivre mes camarades plus doués que moi ! Et ce fut un excellent stimulant ! Ce livre est avant tout un message aux jeunes générations : il n'est de rêve, de place, que l'on ne puisse atteindre à force de travail et d'obstination.
Michel Menu, fondateur des Raiders scouts puis des Goums, a fait rêver d'aventures et d'excellence des générations de jeunes. Entre 1970 et 2015, il les a accompagnés dans ces raids goums en marchant dans le désert des Causses. Au rythme du silence et du dépouillement, il leur a donné les moyens de s'épanouir au service des autres et à la recherche du sens de la vie. C'est un précurseur, tel un Sylvain Tesson... croyant. Son message et sa mémoire continuent d'ouvrir les chemins qui redonnent la liberté de penser et d'agir.À présent, l'un de ses fils nous invite à mettre nos pas dans sa trace pour retrouver l'authenticité de son projet et à découvrir, sous le visage du chef, l'homme au coeur sensible et profondément attachant qu'il était. Fruit de nombreux dialogues père fils au cours de marches communes et puisant dans ses écrits, cet ouvrage est aussi un hommage à celui qui a confié à l'auteur la boussole dont il se servait lors de ses évasions en 1940. Elle indique encore le Nord et permet de savoir où aller, avec qui et vers qui...Chirurgien cardiaque des hôpitaux et professeur des universités, Paul Menu a consacré une partie de sa vie à aider les plus démunis dans le cadre de missions humanitaires. Avec un petit groupe et sous l'impulsion de son père, il a participé activement à la naissance des Goums et à leur développement. Lanceur goumier, il a participé depuis le premier raid goum à cette aventure et a marché avec son père pendant plus de soixante ans dans les Causses et en Vendée.En dehors d'articles médicaux et de réflexions sur la médecine humanitaire, il a écrit plusieurs articles dans les revues Goum et À la belle étoile, et publié un livre, Notre pain quotidien, aux éditions Amalthée.
Jamais je n'aurais envisagé d'écrire un livre, mais une force irrépressible m'a poussée à partager les expériences vécues.
Car dans ma vie, pourtant ordinaire, il m'a été donné de vivre des choses extraordinaires : elles ont conforté ma certitude de l'existence d'une vie après la mort.
À travers ce vécu, la perspective d'une énergie bienfaisante, qui puisse être utilisée par tous et de façon illimitée, s'est présentée à moi.
Cette magie de la Vie me permet de vivre plus facilement ; je souhaite maintenant partager avec vous cette richesse. Car vous avez tout autant que moi la faculté de vous en servir.
Le chemin de vie d'Abigaïl Bonnefoy aura été pour le moins tragique et empli de souffrances. Rejetée dès sa naissance, elle connaît une enfance difficile - viols, tortures et placements en foyers de la DASS. Le début de sa vie d'adulte n'est guère mieux. Puis, la maladie gagne du terrain et c'est tout le corps qui est touché : il n'y a plus aucun espoir de guérison.
Jusqu'à cette rencontre extraordinaire qui a bouleversé sa vie - la malédiction et la mort ont fait place à la bénédiction et la vie en abondance. Aujourd'hui, la vie d'Abigaïl est complètement transformée : guérie, elle a été adoptée et a démarré une nouvelle vie.
Elle souhaite à travers ce livre transmettre un message d'espoir et de foi à tous ceux qui sont dans la souffrance ou qui cherchent une raison de vivre. Elle explique comment elle a pu sortir de cet enfer et se reconstruire pour avancer sur le chemin d'une nouvelle vie, pleine d'amour, de joie et d'espoir.
Tels les flonflons du bal, les souvenirs de mon enfance dansent dans ma mémoire au rythme doux d'une berceuse.
Amour reçu de parents qui en avaient tant à donner, en fait tout ce qu'ils n'avaient pas reçu. Souvenirs des fins de mois difficiles pour Maman où elle disait : «je racle les fonds de tiroirs», ou encore, «je n'ai pas assez pour acheter le paquet de tabac de ton Père, je prends dans ta tirelire, dès que j'ai touché les Allocations Familiales je te les rends».
Dans Les Flonflons du Bal, avec le récit des «bêtises» de gamins espiègles et débrouillards de la fratrie dans les années soixante, MaryLaur FabiAnd a voulu rendre hommage à ses parents et en aînée, faire un clin d'oeil tendre et malicieux à ses frères et soeur, le tout sur fonds de poésies, de contes et de nouvelles.
Cet ouvrage autobiographique est en quelque sorte le film de la vie de l'auteur, Pierre Vinot. Né à l'aube de la Seconde Guerre mondiale, il a fouillé dans le tréfonds de sa mémoire pour en extraire souvenirs, anecdotes et les sentiments qui l'accompagnent, faisant ainsi ressurgir tout son passé. La vie, il y a presque un siècle, était tellement différente de ce qu'elle est à présent...
Il s'agit là d'un témoignage saisissant, étonnant, poignant et parfois touchant, dans certaines situations. On découvre alors des passages de grands instants de bonheur, le drame, la maladie, les rêves accomplis, les voyages ; la diversité d'une vie riche et bien remplie.
L'auteur, en homme accompli, passionné, humain, courageux, éclectique et pragmatique, se découvre en toute intimité et sans tabou.
D'une vie familiale complexe à une vie professionnelle variée en passant par ses passions pour le sport, la course à pied de grand fond, les randonnées en montagne, l'alpinisme et les voyages fabuleux... C'est tout son itinéraire qui défile sous nos yeux. Sa sincérité ainsi que son goût des détails concourent à donner à cet ouvrage toute sa profondeur.
« J'aime qu'il se passe quelque chose ; et s'il ne se passe rien, je fais en sorte qu'il se passe quelque chose ! » Sir Winston Churchill
Je suis né le 1er mars 1915 à Champigny-sur-Marne d'une mère née Marthe APPAY à Boissy-Saint-Léger (94470) et d'Auguste RAINOT né à Champigny-sur-Marne et tué à l'ennemi à Vauquois, près de Verdun, le 21 mars 1915. Mon père a su que j'étais né car lorsqu'il est mort, il avait sur lui ma photo dans les bras de ma mère. Mon père a reçu un éclat d'obus qui lui a sectionné l'artère fémorale. Il a essayé de se faire un garrot, mais il a été transporté trop tard à l'hôpital de campagne.
Le livre commence par une grande blessure et se termine par une plaie plus douloureuse encore : l'avancée inexorable de la vieillesse d'une mère, et la mort d'une fille minée par un mal insidieux. Quant aux pages intermédiaires, elles représentent une véritable tentative de sauvetage, une manière d'échapper aux mâchoires de l'implacable étau où la nature humaine se trouve piégée. Gaspard, le narrateur, y évoque les moments essentiels de la vie de femmes de cinq générations successives et essaie, par personnages interposés, d'observer les changements que provoque dans l'esprit du temps l'inexorable cheminement des années.
Il confie d'ailleurs, dans un passage du livre - « j'ai moi-même été formé et préparé à la vie par des femmes. [...] Plus proches du quotidien et confiantes en l'avenir, elles inculquent les lois de l'existence avec davantage de simplicité et de réalisme. ». - Nombreux seront sans nul doute ceux et celles qui, persuadés comme Gaspard que les femmes sont les gardiennes des valeurs et des bienfaits de l'existence, leur reconnaîtront sans hésiter le mérite de créer la chaleur, l'intimité et la lumière grâce auxquelles la vie devient pour leur entourage un bonheur de tous les jours.
Les chats, dit-on, ont neuf vies ; j'en suis, moi, à ma neuvième biographie qui s'enchaîne en neuf étapes :
Une naissance, un 6 mars, à la veille de l'Évacuation.
Une enfance dorlotée d'amour et de sollicitude.
Une jeunesse douce et studieuse.
Une vie amoureuse exaltante et comblée.
Une vie familiale baignée de chaleur et de lumière.
Une vie professionnelle consciencieuse et intense.
Une vie sociale foisonnant d'amis et de rencontres irremplaçables.
Une carrière de Germaniste apprécié de ses élèves.
Une retraite pleine de projets et d'imprévus...
Finalement les neuf vies d'un chat... chanceux, quoi !
« L'inconnue et le néant formaient un couple, Inséparables et pourtant indifférents l'un de l'autre, Le monde n'était alors qu'un cri poussé par un monstre, Avalant le vide et recrachant la matière, L'inconnue forma le tout, tandis que le néant l'agrandit, De leur sein naquit le rien qui devint le début d'un point... » Sont-ils humains ? Ces hommes qui jugent, ces femmes qui regardent. Mais que regardent-ils ? Que jugent-ils ? Savent-ils qu'Akora, pleine de mystère et d'êtres étranges est dans les rêves de chacun une étoile qui scintille au loin ?
Je m'appelle Anna. J'ai 41 ans et je suis professeur des écoles en région lyonnaise. Je suis en plein burn-out. J'ai décidé d'écrire mon autobiographie car mon désir, essentiel, est de partager avec vous ces moments de vie et d'espoir. Vous dire que quelles que soient les épreuves et les souffrances, on peut toujours relever la tête et s'en sortir. Guérir de son enfance, de son adolescence, de sa vie d'adulte. Guérir des maladies, tout autant physiques que psychiatriques. Guérir et s'en trouver grandi !
Parvenir, avec notre propre force, notre seule volonté, à transcender toutes les épreuves que nous devons vivre ou que nous avons déjà vécues, subies.
J'ai parcouru ma vie du nord au sud, convaincu que j'avais à me battre, que tout était combat : de ma naissance à la conquête de ma verticalité puis tout au long de mes jours, afin de réaliser la plénitude de mon potentiel.
Le choix des armes a été mien, en l'absence de mode d'emploi, privé d'un père dès mon plus jeune âge.
Explorateur à la recherche du chemin de ma liberté, de la réussite et du bonheur, j'ai su émerger des dédales de la vie et des zones d'ombre du passé, pour revivre en pleine lumière, et dire qu'aujourd'hui et Au-delà du labyrinthe :
Le passé est restitué Le présent est lumière Je vois la sortie du tunnel J'ouvre la porte vers la lumière Le soleil inonde ma nouvelle vie Mon devenir rayonne en bonheur.
La danse est un pansement, La danse est un bonheur, La danse est la vie.
Venez découvrir le monde de la danse comme vous ne l'avez jamais connu.
Ils vous raconteront, ils vous feront partager, ils vous feront voyager...
Petite fille mal aimée mais courageuse, jeune fille à l'identité obscure mais audacieuse, femme volontaire et travailleuse, mère aimante et vaillante, découvrez l'histoire de Marie, de son Algérie natale à la France terre d'accueil.
D'une famille nombreuse, Odile G. HUET, la petite fille fragile, devenue la femme de force et de courage un peu maniaque et très rigoureuse, rend hommage, dans ce livre, à sa mère en révélant le portrait d'une femme hardie qui a donné bien plus que son amour à ses enfants, à sa famille.
« Alors il m'ordonna d'avorter, sans même communiquer avec moi, voilà sa requête, se débarrasser du problème ni vu ni connu.
Cette fois, c'est moi qui en ai eu assez de ces conneries, la vie ce n'était pas se débarrasser d'un enfant en un claquement de doigt.
Je me suis levée, je venais de comprendre que je n'avais pas affaire à un homme en face de moi, mais à un gamin capricieux... »