En tant qu'ex-flic, John Rebus est un habitué des tribunaux. Mais pour la première fois, sa place est sur le banc des accusés. Aurait-il commis l'incartade de trop ? C'est ce qu'a laissé entendre Francis Haggard, un policier accusé de violences conjugales qui s'est choisi une défense un peu particulière... il justifie ses actes par la brutalité de son métier, et, pour prouver ses dires, il est prêt à faire tomber avec lui la moitié des forces de l'ordre d'Édimbourg. Une affaire aux répercussions évidentes, que les hautes instances de la police écossaise souhaitent étouffer au plus vite. Et c'est de l'inspectrice Siobhan Clarke, chargée de diriger l'enquête, que tout semble dépendre. Sa loyauté ira-t-elle à ses collègues, ou aux civils ?
Véritable acmé de la série, Un cimetière dans le coeur plonge dans les rouages du système policier pour en révéler les plus noirs secrets. Un roman diablement contemporain.
« Ce roman sombre à l'intrigue dense située dans une ville d'Edimbourg post-crise sanitaire, vingt et unième de la saga John Rebus, met en lumière la corruption policière, entre pots-de-vin, omerta et fraternité mal placée. » Télé 2 semaines « En vieux routier du polar, Ian Rankin interprète avec intelligence une partition très noire dans laquelle un Rebus fatigué mais résilient incarne avec finesse la plupart des maux de la capitale écossaise. » Les Echos « John Rebus restet oujours le maître du jeu et d'une intrigue comme d'habitude aussi complexe que sophistiquée.
Ce 24e épisode de ses aventures (à ranger avec les meilleurs) a tout pour plaire aux fans de la star incontestée du polar écossais et de son célébrissime héros, au moins jusqu'à l'épilogue, déroutant à souhait. » Le Figaro Magazine Traduit de l'anglais (Écosse) par Fabienne Gondrand
À jouer double, on perd de vue sa cibleYvonne Chen n'a pas d'amis et elle n'en veut pas : ils l'ennuient ou finissent par mourir. Lorsque, en ce 5 janvier, son téléphone sonne, elle sait donc que ce n'est pas un ami qui l'appelle.
Les Furies, ces tueurs à gages sans foi ni loi, sont de retour et leur chef Alecto propose à Chen de participer à l'une de leurs danses. Deux frères se disputent le contrôle d'un prestigieux vignoble dans les Vosges et, d'après le commanditaire anonyme, il ne doit en rester qu'un.
Chen, l'ex-flic de la Crim, aujourd'hui agent infiltré de la DGSI, accepte la mission : l'occasion rêvée pour elle de piéger enfin ces assassins. Lancée dans un jeu de faux-semblants au coeur d'un hiver glacial, Yvonne va devoir décider de quoi elle est l'instrument. La justice ou bien le châtiment ?
Tout bascule quand les fantômes du domaine s'en mêlent. Eux aussi réclament vengeance.
Un nouveau polar renversant porté par l'humour et le talent d'illusionniste de Nicolas Lebel, où chaque hypothèse du lecteur se voit pulvérisée page après page jusqu'à la révélation finale.
« Un troisième volume d'une série saupoudrée d'humour qui doit autant au polar qu'au roman d'espionnage. En cela, L'Hallali est un vrai festival. » Le Parisien Week-End
Ils sont dix à avoir reçu l'invitation : des vacances d'été sur l'île du Soldat ! Voilà une proposition à laquelle personne ne saurait résister. Non seulement c'est gratuit, mais l'île a tant fait parler d'elle ! Chacun se demande qui est son nouveau propriétaire - une star d'Hollywood, un milliardaire américain, ou l'Amirauté britannique qui s'y livrerait à des expériences ultrasecrètes ? Aussi, sans vraiment connaître leur hôte, ils accourent volontiers : le médecin, le play-boy, la jeune prof de gym, le juge à la retraite, le général bardé de décorations, la vieille fille grincheuse, le sémillant capitaine, le majordome et sa femme, et M. Davis qui ne s'appelle pas Davis... Qu'ont-ils donc en commun ?
À l'arrivée, cela dit, un par un, tous connaîtront le même sort...
Traduction révisée de Gérard de Chergé
La terre est riche. Parfois, elle y pense - la terre est riche. La boue est riche. Elle pas. Tout le monde est plus riche qu'elle, même la boue.
Catherine est pauvre. Catherine fait sale. Catherine parle peu. Elle n'aime pas qu'on la regarde - les filles qu'on regarde ont des problèmes. Au Domaine où elle travaille, elle fait partie de ces invisibles grâce à qui la ferme tourne.
Monsieur, lui, est riche. Il ne parle pas non plus - il crache ou il tonne. Et il possède tout.
Mais quand sa petite-fille de quatre ans disparaît ce jour glacé de février 1969, Monsieur perd quelque chose d'une valeur inestimable.
Dans cette vallée de champs de betterave, où chaque homme et chaque femme est employé de près ou de loin par Monsieur, deux flics parisiens débarquent alors pour mener l'enquête avec les gendarmes.
Car une demande de rançon tombe. Mais le village entier semble englué dans le silence et les non-dits. Personne ne veut d'ennuis avec Monsieur. À commencer par Catherine. Catherine qui se fait plus discrète et plus invisible encore. Catherine qui est la dernière à avoir vu la petite.
Après le succès de La Deuxième Femme, Louise Mey revient avec un roman noir éblouissant qui raconte comment une disparition peut révéler les pires jeux de pouvoirs, entre violences de classe et violences de genre.
« Du lourd, du très très lourd La rentrée littéraire de septembre n'est pas encore achevée que nous nous intéressons déjà à celle de janvier. Louise Mey, dont nous avions adoré en 2020 la Deuxième femme, (éditions du Masque), l'histoire d'une femme sous emprise, publie le 11 janvier Petite Sale, toujours au Masque. » Libération « Si l'intrigue respecte les codes du polar, le récit vaut aussi pour la façon dont l'autrice l'utilise pour illustrer la hiérarchie des classes sociales et des genres dans une France où les femmes étaient toujours en bas de l'échelle.
Un bon roman noir. » Causette « Un terrible roman sociétal sur la France des années 1960 et les luttes pauvres/riches, femmes/hommes et villes/campagne. Révélateur et inquiétant. » Madame Figaro « Après son excellent roman La Deuxième Femme, qui explorait l'emprise d'un homme sur sa compagne, Louise Mey revient avec une nouvelle histoire noire, hypnotique et savamment construite. Haletant ! » Héloïse Goy, Télé 7 jours « Petite sale est un vrai polar, pas un polar prétexte, mais c'est aussi une étude minutieuse de la façon dont les violences patriarcales, en plus de transformer certaines femmes en montagnes de souffrance, tendent à gangréner toute notre société. 1969-2023, même(s) combat(s). » Slate « Et le lecteur se réjouit de ce récit qui aborde les rapports de domination de genre et de classe. Situé dans la France d'hier, ce cinquième polar de Louise Mey est fort actuel. » Le Parisien Week-End « Après son excellent roman La Deuxième Femme, Louise Mey continue de briller dans la veine du noir et dans la construction de personnages complexes, avec ce tourbillon glaçant de suspens. » S le magazine de Sophie Davant « Un roman puissant et ciselé, révélateur de la violence des rapports de domination de classe et de genre. » Télérama « La lutte des classes est d'abord celle des femmes. Cette conviction, Louise Mey nous la fait vivre avec son nouveau roman, Petite sale. » Le Monde des livres « L'écriture est sobre et puissante, la misère et le froid imprègnent chaque mot, ce qui n'empêche pas les éclats de lumière et d'amour. » Libération « Petite sale est un portrait féroce de cette bourgeoisie rurale fermée et étriquée. Madame n'a clairement pas le charme vénéneux de Stéphane Audran. Mais l'atmosphère des films de Chabrol effleure le roman.» Karen Lajon, JDD
C'est par le plus grand des hasards qu'Hercule Poirot se trouve à bord de l'Orient-Express, ce train de luxe qui traverse l'Europe. Alors qu'il est bloqué par la neige au coeur de la Yougoslavie, on découvre, dans l'une des voitures, le corps d'un Américain sauvagement assassiné à coups de couteau. Le meurtrier se cache forcément parmi les voyageurs... Mais qui de la princesse russe, de l'Américaine fantasque, de ce couple de Hongrois distingués, de ce colonel de retour des Indes ou même du propre secrétaire de la victime a bien pu commettre pareil crime ? L'enquête commence, elle sera l'une des plus difficiles et des plus délicates pour notre célèbre détective belge.
Traduit de l'anglais par Jean-Marc Mendel
Quoi de plus reposant et tranquille qu'une croisière sur le Nil ? Sauf quand on retrouve à bord le corps de Linnet Ridgeway tuée d'une balle dans la tête. Linnet avait tout pour elle, jeunesse, beauté, richesse... tout, jusqu'à ce qu'elle perde la vie !
Parmi les passagers, tous sous le choc d'une telle découverte, se trouve Hercule Poirot, le célèbre détective belge. Et voilà que justement il se rappelle avoir entendu un homme dire au sujet de la victime : « Je poserai bien mon pistolet contre sa tempe et j'appuierai sur la gâchette ! » Mais cette déclaration, si elle n'est pas anodine, ne fait pas forcément de vous le coupable idéal.
Traduit de l'anglais par Elise Champon et Robert Nobret.
Cinq heures du matin. John Rebus, pourtant à la retraite, est tiré du lit par la sonnerie stridente du téléphone. À l'autre bout, sa fille, paniquée, lui apprend que son compagnon Keith a disparu. De son côté, la police écossaise découvre le corps d'un riche étudiant saoudien, Salman bin Mahmoud, assassiné sur un vulgaire parking d'Édimbourg. Et les pistes, aussi ténues que variées, ne semblent mener nulle part.
Tandis que Siobhan Clarke et l'inspecteur Malcom Fox tentent de démêler cette enquête, John Rebus roule vers le petit village côtier plein de secrets où réside sa fille. Mais, pour la toute première fois, la vérité est peut-être ce qu'il désire le moins découvrir...
Un polar palpitant qui, sur toile de fond de Brexit, aborde la violence de la xénophobie et explore la puissance et la fragilité des liens familiaux. Un livre qui se dévore, pimenté à souhait par l'humour de cet enquêteur atypique.
Quand Renisenb revient au foyer après la mort de son époux, elle retrouve sa famille telle qu'elle l'avait quittée. Mais depuis que son père, Imhotep, a ramené une nouvelle concubine de son voyage dans le Nord, tout semble différent. La jeune femme à la beauté sans pareille a ensorcelé le maître. Habitée par un génie maléfique, elle sème le désordre et la haine dans le domaine comme dans la fratrie.
Si elle venait à disparaître, le coeur d'Imothep retournerait à ses fils. Il suffirait d'écraser le serpent, et tout redeviendrait comme avant. Mais le Mal vient-il seulement de cette inconnue ? On dirait qu'un autre poison ronge la maison du maître...
Traduit de l'anglais par Marie-France Franck
Quand Albert, jeune orphelin solitaire, rencontre Solange, fille de tondue abandonnée à elle-même, c'est l'étincelle qui allume la mèche. Seuls contre tous, ils deviennent inséparables, et transforment leur amitié en un amour féroce.
Leur premier crime est un accident.
Le deuxième, un calcul.
Les étés meurtriers se suivent sans se ressembler, sur le rythme mélancolique d'une chanson disco des années 1970. Mais la mèche se consume... et leur drôle de danse ne peut pas durer éternellement.
Un roman aussi ténébreux que romantique, tellement troublant qu'il en devient fascinant, à l'image de ses deux anti-héros torturés. Ces Papillons noirs n'ont pas fini de vous hanter.
Roger Ackroyd se confie un soir à son vieil ami le Dr Sheppard. Il était sur le point d'épouser une jeune et richissime veuve quand celle-ci a mis fin à ses jours pour échapper à un affreux chantage. Dans sa dernière lettre elle lui livre un secret terrible : un an plus tôt, elle a assassiné son mari !
Traduit de l'anglais par Françoise Jamoul
Manchester, 17 décembre 2011. Zoe Nolan, 19 ans, quitte la tour de sa résidence universitaire à l'aube, après le déclenchement de l'alarme incendie lors d'une fête organisée dans sa colocation. C'est la dernière fois qu'elle est aperçue vivante.
Sept ans plus tard, l'écrivaine Evelyn Mitchell, qui s'intéresse aux disparitions inexpliquées de jeunes femmes, devient obsédée par celle-ci et décide de creuser l'enquête. Alors qu'elle envoie, au fur et à mesure de ses avancées, les chapitres de ce qui constituera son prochain livre à son ami Joseph Knox, elle disparaît à son tour.
Joseph plonge dans ses notes et ses retranscriptions d'interviews, et découvre les témoignages des proches de Zoe. De son petit ami à ses parents, en passant par ses professeurs, sa soeur jumelle et ses amis, tout le monde adorait Zoe Nolan.
Mais dans ce cas, pourquoi mentent-ils et se contredisent-ils entre eux ?
Un roman noir jubilatoire et addictif, qui convoque brillamment les codes de la narrative non-fiction, tantôt pour la parodier, tantôt pour la sublimer. Résultat : on se passionne pour l'affaire Zoe Nolan comme on s'est passionné pour l'affaire de la petite Maddie ou celle de Xavier Dupont de Ligonnès, au point de vouloir résoudre l'enquête nous-mêmes.
Traduit de l'anglais (Royaume-Uni) par jean Esch « Joseph Knox joue de manière virtuose avec ses lecteurs. C'est aussi savoureux que vertigineux. L'art du polar tient dans la manipulation du lecteur et ce roman y excelle car la conclusion y est constamment repoussée. » France Inter « True Crime Story touille large : jalousie, trahison, mensonge, addiction, manipulation, emprise. Mais Knox le fait en architecte très malin du vrai-faux suspense, hyper attentif à l'intérêt du lecteur. Joueur jusqu'au pastiche. Après avoir refermé son quatrième livre, on cherche à savoir, via Internet, ce qui est vraiment arrivé à Zoe Nolan. » Libération « Fiction ? Réalité ? Joseph Knox propose un Cluedo vicieux à ses lecteurs. On connaissait l'auteur, grand connaisseur de littérature noire, bien calé sur un classicisme qu'il a su renouveler avec brio, le voilà en scène dans une mise en abyme un brin vertigineuse, exploitant à la fois l'errance de cette jeunesse anglaise, le thème de la gémellité, celui de la pression paternelle. A 42 ans, l'ancien barman, ancien libraire, confirme qu'il est l'un des talents les plus singuliers du genre. » Corse Matin « L'auteur britannique, déjà connu pour le roman policier Sirènes, signe cette fois un ovni littéraire, follement original et mené habilement, à la manière d'un documentaire. On referme ce livre persuadé que cette histoire a bel et bien eu lieu ! » Télé 7 jours « Un roman oscillant brillamment entre faits divers et fiction. » Télérama, Christine Ferniot « La parution de «True Crime Story», de Joseph Knox aux Éditions du Masque, qui parodie et sublime l'approche dans une mise en abyme «à la ma¬nière de». Et si c'était vrai? » Tribune de Genève, Cécile Lecoultre
Thomas Betterton s'est mystérieusement évaporé et les services secrets britanniques s'émeuvent car M. Betterton est un savant atomiste réputé. Une question se pose alors : a-t-il été enlevé ou est-il passé volontairement au service d'une puissance étrangère ? On soupçonne fortement Mme Betterton, bien qu'elle affirme ne rien savoir. Elle suit alors sa logique et tente de fuir en douce. Hélas ! Elle périt dans un accident d'avion.
Courageusement, Hilary usurpe l'identité de l'épouse défunte dans l'espoir d'être contactée par ceux qui pourraient la conduire vers le savant disparu...
Traduction révisée de Janine Lévy
Elizabeth, Joyce, Ibrahim et Ron frisent peut-être les quatre-vingts ans, mais ils en ont encore sous le capot. Leur passe-temps favori :
S'atteler, tous les jeudis, à de vieilles affaires de meurtre, pour en découvrir le fin mot là où la police a échoué. Jusqu'à ce que la nouvelle leur parvienne : Tony Curran, l'associé du directeur de leur village de retraite, vient d'être retrouvé assassiné dans sa cuisine.
Ni une ni deux, Elizabeth convoque ses trois acolytes et lance le Murder Club sur la piste du tueur, toutes cannes dehors. Quand il s'agit de tromper l'ennui et de doubler la police, il ne faut jamais sous-estimer les personnes âgées.
Au palmarès des motifs de crime les plus récurrents figurent en bonne place les amants éconduits, triangles amoureux désespérés et autres liaisons funestes. Car tous les détectives vous le diront : l'amour révèle ce qu'il y a de meilleur en l'homme... comme ce qu'il y a de pire.
Dans ces treize nouvelles policières, Agatha Christie ébauche de sa plume sagace l'immense toile des sentiments humains, explorant tour à tour l'amour silencieux et celui qui s'expose en place publique, l'euphorie, l'ennui ou la jalousie.
Un recueil incontournable pour tous les amoureux de cosy mystery, qui rassemble les plus brillants enquêteurs de la reine du crime - d'Hercule Poirot à Miss Marple, sans oublier les plus atypiques, tels que le futé Parker Pyne ou le mystérieux Harley Quinn.
« Car, on le sait moins, mais Lady Christie était une fine observatrice des choses de l'amour et des moeurs de son époque. C'est cette facette méconnue et pourtant essentielle de sa personnalité qu'on peut aujourd'hui découvrir dans Une idylle fatale, un recueil de douze nouvelles exclusivement consacrées au sentiment amoureux. » Carrefour Savoirs Traductions entièrement révisées
Luke Fitzwilliam n'a pas voulu croire la vieille demoiselle Pinkerton quand elle affirmait qu'un meurtrier sévissait dans le paisible village de Wychwood et que le médecin serait sa prochaine victime. D'ailleurs elle allait se rendre à Scotland Yard. Mais Mademoiselle Pinkerton n'a pas eu le temps de parler à la police, elle a été renversée par une voiture et tuée sur le coup. C'est le hasard a alors pensé Fitzwilliam, jusqu'à ce qu'il tombe, en lisant le Times, sur l'annonce du décès brutal du Dr. Humbleby...médecin à Wychwood !
Traduit de l'anglais par Gérard de Chergé
Californie du Sud, 1973. Après avoir joué au soldat au Vietnam, Eddie Wakabayashi est de retour à Orange County, où il n'a plus pour lui que son swing légendaire et sa langue bien pendue. Alors qu'il cherche à travailler dans la police, il se heurte au racisme ordinaire à cause de ses origines japonaises - le seul job qu'il obtient, c'est flic dans un immense parc à thème.
Dans ce décor de carton-pâte, il fait ses rondes entre les diverses attactions, chargé de décourager les potentiels vols à l'arraché et de traquer les hippies sous drogue. Mais le moment qu'il préfère de sa journée, c'est quand il s'éclipse pour jouer au golf, ou le soir au bar, quand il peut flirter avec Cendrillon et la Belle au bois dormant en sirotant des pina coladas.
Malheureusement pour Eddie, toutes les bonnes choses ont une fin, et son existence bascule lorsqu'il tombe sur un cadavre au pied des montagnes russes. Car personne n'est censé mourir dans L'Endroit le plus merveilleux au monde. Et si c'est le cas, personne n'est censé en parler, sous peine de risquer le même sort...
Un roman noir à l'humour décapant, qui dresse le portrait d'une Amérique aux prises avec ses paradoxes et engluée dans son racisme.
Traduit de l'anglais (États-Unis) par Fabienne Gondrand
Mars 1919. La guerre n'est terminée que depuis quelques mois quand Lupin se laisse convaincre par Bernardin, une nouvelle recrue, de cambrioler un hôtel particulier.
Mais Bernardin n'est vraiment pas doué pour les cambriolages et rien ne se passe comme prévu... Une expédition désastreuse qui, contre toute attente, signe le début d'une enquête explosive !
Voilà la sagacité d'Arsène Lupin mise à l'épreuve: n'est pas gentleman cambrioleur qui veut !
Finis les cambriolages prodigieux et les évasions spectaculaires, Arsène Lupin a légué au Louvre les trésors de l'Aiguille Creuse et tiré sa révérence.
Mais voilà que la relève, la Griffe, entache la profession : enlèvements, brutalité, meurtres... Le nouveau roi des voleurs ne fait pas de quartiers. Lupin doit contre-attaquer.
Il est certes cambrioleur, mais gentleman avant tout !
Une aventure d'Arsène Lupin aussi audacieuse que périlleuse !
Il ne fait pas bon, ces derniers temps, être invité aux dîners de Sir Charles. À quelques jours d'intervalle, un pasteur, puis un psychiatre en sortent les pieds devant. Le mobile insolite de ce double crime, il faudrait avoir été invité à dîner pour le découvrir. Et quand cet invité s'appelle Hercule Poirot...
Traduit de l'anglais par Francis Kerline
« Ma première cigarette avait le parfum des intestins qui se vident et le goût du rouge à lèvres de ma mère. ».
Côte ouest américaine, années 1990.
Cyrus Colfer a quinze ans quand il allume sa première cigarette.
Sa mère, ancienne prostituée devenue proxénète, lui a pourtant toujours formellement interdit de fumer. Un peu de cendre tombe sur le carrelage, il frissonne en imaginant sa réaction quand elle rentrera à la maison.
Mais sa mère est déjà là. Allongée sur le sol, en jupe trop courte, comme d'habitude. Le corps lardé de vingt-huit coups de couteau.
Dix ans plus tard, Cyrus Colfer n'a pas perdu le goût de fumer. Et il est prêt à retrouver l'assassin de sa mère. À un détail près : il est devenu aveugle.
Un roman qui nous plonge dans les tribulations d'un antihéros plein de ressources, contrairement aux apparences.
Une série de vols, en apparence anodins, conduit Hercule Poirot à mener l'enquête au sein de la pension Vanilos. Cette pension pour étudiants est un joyeux mélange d'individus cosmopolites. Mais la liste hétéroclite des objets dérobés : une boîte de chocolat, un stéthoscope, un vieux pantalon de flanelle, un sac à dos hors d'âge et même une bague en diamants repêchée dans une soupière, intrigue Poirot. Son intuition lui dit que derrière ces petits délits, quelque chose d'autrement plus sérieux se trame. Sinon, pourquoi les pensionnaires de Mrs Hubbard auraient-ils tous l'air si inquiet ?
Traduit de l'anglais par Jean-Marc Mendel