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Arlea
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Neige Collection Arléa-Poche Illustré par Georges Lemoine Dans une langue concise et blanche, Maxence Fermine cisèle une histoire où la beauté et l'amour ont la fulgurance du haïku. On y trouve le portrait d'un Japon raffiné où, entre violence et douceur, la tradition s'affronte aux forces de la vie.
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Outre les Poésies en vers, cette édition de poche comprend les Illuminations, Une saison en enfer, Un coeur sous une soutane et les Proses évangéliques. De la correspondance, n'ont été retenues que la lettre « du voyant » et celle dite de « Laïtou ». « Le Rêve de Bismarck » - article paru en 1870 dans Le Progrès des Ardennes sous le pseudonyme de Jean Baudry - clôt cet ouvrage.
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En 1925, Albert Londres met sa notoriété au service d'une cause méconnue, l'enfermement tel qu'il est réservé aux malades mentaux.
Après avoir dénoncé les bagnes de Guyane et Biribi, c'est à une autre forme d'enfermement qu'Albert Londres entend s'attaquer : les asiles d'aliénés.
Se heurtant une fois encore à la mauvaise volonté des autorités administratives, le grand reporter tentera même de se faire passer pour fou.
Parvenant enfin à pénétrer dans plusieurs établissements, il réalisera de nombreuses interviews de malades, qui fourniront la matière de douze articles - volontairement polémistes.
La rédaction du Petit Parisien hésitera avant de publier cette enquête, qui ne paraîtra qu'en mai 1925.
Devant l'indignation des psychiatres et des aliénistes, Albert Londres, dans le livre qui fera suite à la publication du reportage, sera contraint d'adoucir certains passages et de maquiller quelques noms propres. -
Depuis la vente, à Drouot, en 2006 et 2007, de plusieurs manuscrits de la prestigieuse collection de Pierre Bérès, les rimbaldiens de la planète - ils sont nombreux dans tous les pays - ont désormais acquis quelques certitudes, et ont pu noter des variantes avérées sur certains poèmes d'Arthur Rimbaud.
Il faut se rappeler en effet que le poète ne publia de son vivant qu'Une saison en enfer, et que tous ses autres poèmes furent joints aux lettres qu'il envoyait à ses correspondants (Paul Verlaine, Paul Demeny, Georges Izambard.).
À chaque nouvel envoi, Rimbaud introduisait une ou plusieurs variantes dans ses ouvres et, en l'absence de la missive originale, certaines interprétations ou conjectures sur une phrase, un mot, voire une virgule ont parfois tourné à la querelle, au pugilat littéraire (voir Le Dernier Couac, de René Char, qui fut une réponse au théories d'Étiemble sur l'interprétation d'un vers de Rimbaud).
La mise en lumière, à Drouot, d'un certain nombre de manuscrits nous a donc permis de mettre à jour notre édition des Poésies d'Arthur Rimbaud, lesquelles, avec Une saison en enfer (publiée à l'identique sur le modèle de l'édition originale) et les Illuminations, représentent l'édition la plus authentique des ouvres du poète. -
EUX SUR LA PHOTO Arléa-Poche Hélène Gestern Une petite annonce dans un journal comme une bouteille à la mer. Hélène cherche la vérité sur sa mère, morte lorsqu'elle avait trois ans. Ses indices : deux noms et une photographie retrouvée dans des papiers de famille, qui montre une jeune femme heureuse et insouciante, entourée de deux hommes qu'Hélène ne connaît pas. Une réponse arrive : Stéphane, un scientifique vivant en Angleterre, a reconnu son père.
Commence alors une longue correspondance, parsemée d'indices, d'abord ténus, puis plus troublants. Patiemment, Hélène et Stéphane remontent le temps, dépouillant leurs archives familiales, scrutant des photographies, cherchant dans leur mémoire. Peu à peu, les histoires se recoupent, se répondent, formant un récit différent de ce qu'on leur avait dit. Et leurs découvertes, inattendues, questionnent à leur tour le regard qu'ils portaient sur leur famille, leur enfance, leur propre vie.
Avec Eux sur la photo, Hélène Gestern nous livre une magnifique réflexion sur les secrets de famille et la mémoire particulière que fixe la photographie. Elle suggère que le dévoilement d'éléments inconnus, la résolution d'énigmes posées par le passé ne suffisent pas : ce qui compte, c'est la manière dont nous les comprenons et dont nous acceptons qu'ils modifient, ou pas, ce que nous sommes. -
Albert Londres entreprend de retrouver Eugène Dieudonné, l'évadé dont on a perdu la trace.
C'est en Guyane française, en 1923, alors qu'il enquêtait sur le bagne, qu'Albert Londres avait connu Eugène Dieudonné, jeune ébéniste parisien condamné comme complice de la bande à Bonnot. Clamant son innocence, le condamné des îles du Salut avait impressionné le reporter qui avait multiplié - vainement - les démarches et interventions pour obtenir une révision de son procès. En désespoir de cause, Eugène Dieudonné dont le "cas' était devenu célèbre en France s'était évadé pour la troisième fois. Tentative réussie, celle-ci.
En 1927, sur la suggestion d'Élie-Joseph Bois, rédacteur en chef du
Petit Parisien, Albert Londres entreprend de retrouver l'évadé dont on a perdu la trace. Convaincu que son homme s'est réfugié au Brésil, il lui fait adresser plusieurs messages au nom du journal puis embarque sur un paquebot des Messageries maritimes et arrive à Rio. Eugène Dieudonné est au rendez-vous. Albert Londres multiplie les démarches auprès du quai d'Orsay et obtient enfin que l'on restitue son passeport à Dieudonné. En octobre 1927, il le ramène en France à bord du vapeur
Plata. -
Le succès de son enquête sur le bagne de Cayenne (Au bagne) pousse Albert Londres à s'intéresser à d'autres bagnes, militaires cette fois.
Le succès de son enquête sur le bagne de Cayenne (
Au bagne) pousse Albert Londres à s'intéresser à d'autres bagnes, militaires cette fois, situés en Afrique du Nord et dépendant du ministère de la Guerre. Malgré l'hostilité de la hiérarchie militaire, il sillonne donc le Rif et recueille les doléances inimaginables des soldats bagnards.
Sous la forme de dix-neuf articles, son reportage est publié sous le titre
Biribi au printemps 1924. Au cours de l'été, sous la pression de l'opinion publique, le ministre de la Guerre doit envoyer sur place une commission d'enquête, et c'est grâce à Albert Londres et à son reportage que les bagnes militaires, avec leurs odieux " travaux publics ", seront bientôt supprimés en France. -
Glané au cours de nombreuses lectures, le butin ici rassemblé se présente en chapitres qui embrassent la foisonnante variété des essais.
Chacun, à son tour, peut y récolter son miel, ou, mieux, l'élaborer à partir de sa cueillette, comme montaigne l'écrit joliment des abeilles : " [elles] pillottent deçà delà les fleurs, mais elles en font après le miel, qui est tout leur ; ce n'est plus thym ni marjolaine. " cette anthologie aura atteint son but si, après qu'ils l'auront lue, quelques lecteurs, séduits par la pertinence, l'humour et la modernité du discours, osent se lancer dans la lecture des essais afin d'approfondir la connaissance de l'homme qui a eu le constant souci de se peindre, et, se peignant, a peint l'homme universel comme nul ne l'avait fait avant lui, ni ne le fit après.
On trouvera également en fin de volume une traduction des sentences grecques et latines que montaigne avait fait peindre sur les solives de sa bibliothèque.
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En 1923 Albert Londres s'intéresse au bagne de Cayenne, en Guyane française.
En 1923 Albert Londres s'intéresse au bagne de Cayenne, en Guyane française. Il vient d'entrer au
Petit Parisien, journal prestigieux dont il admire le rédacteur en chef Élie-Joseph Bois.
Londres est lui-même un reporter déjà célèbre. Les premières déportations vers le bagne datent des lendemains de la Révolution. La publication de l'enquête explosive d'Albert Londres (août et septembre 1923) dans
Le Petit Parisien - enquête qui s'achève par une lettre ouverte à Albert Sarraut, ministre des Colonies - connaît un retentissement considérable, et sa force sera si grande qu'en septembre 1924 le gouvernement décidera la suppression du bagne. -
Comprendre l'architecture sacrée : L'Incandescence de l'ombre
Vincent Borie
- Arléa
- Arlea Poche
- 7 Novembre 2024
- 9782363083883
Les bâtisseurs inconnus d'Angkor Vat comme ceux de la mosquée Asa'ir, à Zabid, ont en commun avec ceux de l'abbaye Notre-Dame de Sénanque une même soif de transcendance. Leurs édifices nous parlent de Dieu. Partout, ils nous questionnent sur notre rapport à la mort et notre perception de l'au-delà.
Que se passe-t-il en nous lorsque nous pénétrons dans un espace sacré ? D'où vient notre émotion, notre trouble ou notre émerveillement ?
Sous tous les horizons, nous sommes fascinés par ce qui s'exprime dans la lumière, la pierre et le bois : l'incandescence de l'ombre.
C'est cette fascination que Vincent Borie décrypte en convoquant l'espace des temples égyptiens, la chapelle de Ronchamp de Le Corbusier, les proportions idéales de Piero della Francesca, les églises de Mario Botta ou de Tadao Ando. Le suivre est une aventure qui nous mène du profane au sacré. -
Voilà plusieurs années, depuis octobre 1917, qu'Albert Londres rêve d'aller enquêter sur la révolution bolchevique en Russie, révolution dans laquelle la plupart des commentateurs européens voient l'incarnation du mal.
Voilà plusieurs années, depuis octobre 1917, qu'Albert Londres rêve d'aller enquêter sur la révolution bolchevique en Russie, révolution dans laquelle la plupart des commentateurs européens voient l'incarnation du mal. Son projet suscite le scepticisme de la plupart des rédactions, car on sait qu'en Russie les reporters étrangers n'ont pas de liberté de mouvement.
C'est au prix de mille difficultés qu'Albert Londres parviendra à " s'infiltrer " chez les Soviets. Il mettra cinquante-deux jours pour aller de Paris à Petrograd (Saint-Pétersbourg), en passant par Berlin, Reval, Copenhague, Helsingfors, etc. Sur place, le grand reporter est effaré par ce qu'il découvre, mais surtout, il a du mal à comprendre ce que veulent réellement les communistes. La publication, à partir du 22 avril 1920, de son reportage fera sensation à Paris. -
Marie Sizun donne un nouveau souffle de vie à ces petits personnages, leur inventant à chacun une histoire, des sentiments, des regrets, des espoirs. Ils deviennent le centre de ces trente et une nouvelles et s'échappent de la toile pour aller vers leur destin.
Ces oubliés de la peinture, ces marginaux, ces créatures à peine ébauchées m'ont toujours intriguée, et charmée, mystérieuses existences nées d'une idée éphémère du peintre, ou ajout, pointe finale et, qui sait, signature secrète de l'artiste ?
Marie Sizun donne un nouveau souffle de vie à ces petits personnages, leur inventant à chacun une histoire, des sentiments, des regrets, des espoirs. Ils deviennent le centre de ces trente et une nouvelles et s'échappent de la toile pour aller vers leur destin.
De Turner à Utrillo, d'Ensor à Vallotton, de Marquet à Monet, chaque tableau choisi devient prétexte à une fantaisie qui, prolongeant la peinture en imagination, nous la donne à voir autrement. -
?En 1929, au faîte de sa gloire, Albert Londres se lance dans une grande enquête sur un sujet qu'il connaît mal : les juifs.
En 1929, au faîte de sa gloire, Albert Londres se lance dans une grande enquête sur un sujet qu'il connaît mal : les juifs. Au terme d'un périple qui, de Londres à Prague, en passant par les ghettos de Varsovie et de Transylvanie, le conduira jusqu'en Palestine, il ramène vingt-sept articles qui formeront la matière de ce livre.
Dix-huit ans avant la création de l'État hébreux, Albert Londres se montre plutôt optimiste sur le sort des communautés juives de Palestine. -
Gusty L. Herrigel nous apprend au gré des leçons, anecdotes et compositions, que la plus modeste fleur peut nous révéler la Voie.
Au Japon, l'art est une forme de spiritualité, un savoir-vivre, un art de vivre. L'art d'arranger les fleurs, l'Ikebana, qui remonte aux origines du bouddhisme, doit nous inciter à aller au plus profond de nous-mêmes.
Gusty L. Herrigel - on connaît davantage son mari Eugen, auteur du célèbre Zen dans l'art chevaleresque du tir à l'arc - nous apprend au gré des leçons, anecdotes et compositions, que la plus modeste fleur peut nous révéler la Voie. -
En 1926, Albert Londres va concrétiser un projet qu'il formait depuis longtemps : s'arrêter à Marseille - d'où il s'embarque d'ordinaire pour ses lointains reportages -, et faire le portrait de la cité déjà " multiraciale ". Ici se côtoient les immigrés, les aventuriers, les marins.
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Dans tous les livres d'Oscar Wilde, apparaissent ce qu'il est convenu d'appeler des bons mots , des épigrammes assassines et autres sentences définitives qu'il était tout à fait opportun de réunir.
On trouvera donc dans ce livre, grâce à l'élégante traduction de Béatrice Vierne, réponse à toutes les situations de la vie en société, en empruntant à l'un des plus fins causeurs du siècle passé un esprit qui ne doit rien à celui de l'escalier.
Qu'on en juge plutôt :
La mode, c'est ce que l'on porte. Ce qui est démodé, c'est ce que portent les autres.
Aucune pose n'est aussi difficile à soutenir que le parfait naturel.
Il vaut mieux avoir des revenus assurés que d'être fascinant.
La grande supériorité de la France sur l'Angleterre, c'est qu'en France tous les bourgeois veulent être artistes, alors qu'en Angleterre c'est le contraire.
S'aimer soi-même, c'est le début d'une histoire d'amour qui durera une vie entière.
De nos jours, l'Amérique et nous, nous avons vraiment tout en commun, à l'exception de la langue, bien entendu.
C'est quand vous commencez à rentrer au petit jour que vos péchés, eux, finissent par sortir au grand jour. -
Publié en 1891, ce texte demeure d'une force polémique étonnante, et l'on y trouve les habituels bons mots, les formules lapidaires et les paradoxes dont Oscar Wilde est coutumier. On peut aussi y puiser des épigraphes et des exergues à l'infini tant ses observations sont concises et pertinentes.
Publié en 1891, ce texte demeure d'une force polémique étonnante, et l'on y trouve les habituels bons mots, les formules lapidaires et les paradoxes dont Oscar Wilde est coutumier. On peut aussi y puiser des épigraphes et des exergues à l'infini tant ses observations sont concises et pertinentes.
S'attaquant avec bonheur aux tyrannies qui depuis longtemps entravent l'homme - l'État, l'argent et la technologie -, Wilde fonde son espérance sur un christianisme mêlé de socialisme, convaincu que la disparition de la propriété privée mettra un terme aux crimes, aux vols et aux assassinats ! On a vu ce qu'il en était ! Mais surtout, et il est alors plus convaincant, Oscar Wilde croit plus que tout à la force de l'art, qu'il place au sommet de toutes les activités humaines. -
Antoine Silber, avec infiniment de justesse et de délicatesse raconte l'histoire d'une maison qui, peu à peu nous révèle aussi et surtout l'histoire d'un amour qui aurait trouvé son écrin.
Patmos est la plus petite des îles du Dodécanèse.
Certains y vont, ne font que passer. D'autres y restent, pris par son charme envoûtant, auquel ils s'abandonnent, consentants. Antoine Silber est l'un d'eux.Il découvre l'île au début des années 1980 et y retourne sans cesse, avec ses enfants d'abord, en père divorcé, puis avec Laurence, la femme qu'il aime. Leur histoire d'amour s'ancre dans ces paysages à couper le souffle, dans cette lumière si particulière, changeante, pure et tranchante parfois, dans cette terre où tout parle de spiritualité. Patmos n'est-elle pas l'île où saint Jean serait tombé en extase dans une grotte, devant une apparition annonciatrice de l'Apocalypse.
Alors, lorsqu'ils découvrent ce rêve de petite maison blanche si proche du lieu saint, ils y voient comme une évidence. Cette maison est pour eux, ils l'achèteront.
Commence alors une longue histoire, faite d'actes notariés, de ciment, de chaux vive et de bleu éclatant, de plans faits et refaits, de murs, de terrasses, de retard, de plantations, de cyprès, d'oliviers, bref, de tout ce qui participe à la lente résurrection d'une maison, mais aussi d'un lieu. La proximité troublante de la grotte permet toutes les hypothèses : Et si, par une imprécision entretenue par les textes sacrés, l'apôtre avait séjourné chez lui. Antoine Silber veut le croire et de lectures en déductions sur le terrain, il a la conviction que saint Jean a posé les yeux sur tout ce qui l'entoure. -
Les exemples y sont pour la plupart tirés d'Homère, et conduisent tous à cette conclusion plus humoristique que sérieuse : le poil fuit l'intelligence et l'intelligence, pareillement, se tient à distance de la pilosité.
Réponse à Dion, et à son
Éloge de la chevelure, ce court traité fait partie des joutes rhétoriques auxquelles se livraient les penseurs et les écrivains grecs de l'Antiquité. Les exemples y sont pour la plupart tirés d'Homère, et conduisent tous à cette conclusion plus humoristique que sérieuse : le poil fuit l'intelligence et l'intelligence, pareillement, se tient à distance de la pilosité. -
Ce reportage mythique, dans lequel Albert Londres rend hommage aux géants du Tour de France, reste une des références obligées de la littérature sportive.
Ce reportage mythique, dans lequel Albert Londres rend hommage aux géants du Tour de France, reste une des références obligées de la littérature sportive.
C'est la grande boucle de 1924 qui est ici superbement racontée, avec ses exploits, ses souffrances et ses drames. -
Dans les eaux profondes ; le bain japonais
Akira Mizubayashi
- Arlea
- Arlea Poche
- 7 Janvier 2021
- 9782363082442
L'espace de la salle de bains, espace souvent anodin, ou exigu en Europe, est au Japon un lieu privilégié où le thème de l'intimité familiale ou amicale se manifeste mieux qu'ailleurs. Le bain japonais est un élément de civilisation, au même titre que la cérémonie de thé, les haïkus ou la voie des fleurs. Si le bain est d'abord associé aux yeux d'un occidental à l'idée de propreté, il est au Japon un savoir-vivre raffiné, poétique, qui rend possible la rencontre de l'autre dans un cadre intime et bienveillant.
Comme Tanizaki, dans son Éloge de l'ombre, Akira Mizubayashi nous livre dans cette évocation des eaux profondes, le secret d'un coeur japonais mais aussi la vigilance critique d'un homme de son temps dans un pays en crise.
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Récit en trois parties d'un voyage entrepris au cours de l'été 1959 le long des côtes italiennes. Dans ce journal, Pasolini développe une réflexion sur la vie et la mort que lui inspirent les grands ciels d'été et les plages étincelantes de soleil. Un Pasolini inhabituel, à la fois journaliste et poète, fort épris de son pays et de ses habitants.
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En 1922, Albert Londres est à Calcutta, au Great Eastern Hotel, et s'apprête à découvrir un " Empire britannique " de deux cent dix-sept millions d'hindous, soixante-dix-sept millions de musulmans, onze millions de bouddhistes, quatre millions de chrétiens et trois millions de sikhs En 1922, Albert Londres est à Calcutta, au Great Eastern Hotel, et s'apprête à découvrir un " Empire britannique " de deux cent dix-sept millions d'hindous, soixante-dix-sept millions de musulmans, onze millions de bouddhistes, quatre millions de chrétiens et trois millions de sikhs.
Spontanément hostile aux Anglais, il est d'autant plus sensible aux revendications nationalistes qui s'expriment ? différemment ? à travers trois personnalités hors du commun : Nehru, Gandhi et le grand poète bengali Rabindranath Tagore.