Vous rêvez d'un arbre accessible et facile à montrer, mais sans pour autant l'afficher sur un mur ?
Ce très bel arbre relié est la réponse idéale :
- il se range dans votre bibliothèque. Comme un livre, il s'attrape d'un geste et se déploie de façon simple- il s'articule autour d'un personnage central (vous-même, ou bien l'un de vos parents ou de vos grands-parents, selon votre choix) dont vous notez le nom sur la couverture et sur le dos du livre (le repérage reste facile dans votre bibliothèque, même si vous avez rempli plusieurs arbres reliés).
- il permet d'en noter la descendance (deux générations au-dessous : enfants et petits-enfants) et l'ascendance (quatre générations au-dessus, jusqu'aux arrière-arrière-grands-parents), donnant une vision synthétique de sept générations sur environ deux siècles- il peut être aisément rempli à la main ou par des étiquettes autocollantes à imprimer chez vous.
- il offre au verso de l'arbre un espace de rédaction pour des compléments et des histoires de vie - une pochette intérieure permet d'y associer des photos, des faire-part, des lettres, des documents familiaux divers : un partage de souvenirs facilité lorsque vous montrez l'arbre à un proche (pas besoin de fouiller vos tiroirs ou d'allumer votre ordinateur : les documents les plus précieux sont là).
Couteliers, tisserands, dentellières, scieurs de long, bergers, terre-neuvas, cabaretiers... autant de métiers qui n'ont plus cours aujourd'hui ou qui ne se pratiquent plus de la même façon. Nous pouvons cependant retrouver ces professions dans nos arbres, exercées par un aïeul plus ou moins lointain.
Or la généalogie nous rend curieux de tout : elle nous donne envie de découvrir l'histoire de ces métiers, mais aussi d'apprendre de façon plus individuelle et familiale de quelle façon l'ancêtre l'a pratiqué, d'accéder parfois à des dossiers de carrière, de reconstituer son parcours professionnel...
Avec l'essor de la généalogie, les bases de données thématiques se sont multipliées, les centres ont ouverts plus largement leurs archives aux chercheurs et aux historiens des familles. Il est désormais tout à fait possible de découvrir des éléments précis sur la vie professionnelle de vos ancêtres eux-mêmes et pas seulement sur leur profession en général. Ce dictionnaire est fait pour vous.
On croit connaître le nom et le prénom de son arrière grand-père, soldat tué en 1915, mais on ne le retrouve pourtant pas dans les listes de morts pour la France.
On tient pour acquis le patronyme que l'on porte mais on ne le repère pas dans les tables décennales du XIXe siècle...
En généalogie, lorsqu'on remonte le temps, les noms et les prénoms peuvent jouer des tours auxquels on ne s'attend pas et la recherche s'en trouve compliquée.
Ceux qui débutent en généalogie ignorent souvent que, jusqu'à l'entre-deux-guerres, beaucoup de nos aïeux ne portaient pas comme prénom usuel celui de l'état civil. Ils ignorent aussi que, dans de nombreuses régions, par exemple la Normandie, c'était le dernier prénom de l'état civil (et pas le premier comme aujourd'hui) qui était utilisé au quotidien. Ainsi, votre arrière grand-père, enregistré à l'état civil sous les prénoms de Marie-Louis-Victor, n'a peut-être été connu dans la famille que comme Victor ou comme Ernest ! Cette nouvelle édition détaille davantage tous les pièges que les prénoms peuvent poser.
Quant aux noms de famille, leur orthographe s'est figée en 1877, avec l'apparition du livret de famille. Plus vous remonterez votre arbre généalogique, plus vous trouverez de variantes orthographiques. Phonétiquement, le nom restait le même... à quelques exceptions près. Car certaines époques avaient l'habitude de traduire les patronymes, certaines régions celles de prononcer différemment certaines syllabes, ce qui entrainait des transformations des noms lors des déplacements des familles.
D'où l'utilité de ce guide pratique pour lever bien des blocages.
La maîtresse a proposé à chaque élève de la classe de faire son arbre généalogique ! Ambre Berlin sait que ses grands-parents paternels vivent en Martinique et elle pense que ses ancêtres étaient originaires d'Allemagne à cause de son nom. Mais son papy n'est pas du tout de cet avis. Qui a raison ? Et où vivaient ses ancêtres si on remonte le temps et les siècles ?
En 1900, il y avait en France davantage de domestiques que de fonctionnaires. Le mot salarié lui-même était associé à l'idée de domesticité. Les familles qui employaient ces hommes et ces femmes n'ont souvent gardé d'eux que le souvenir de leurs prénoms. Et les descendants des nounous, jardiniers, chauffeurs, gens de maison... connaissent parfois mieux le nom des anciens maîtres que le parcours de vie de leurs propres aïeux.
Pourtant, des pistes généalogiques existent, des informations biographiques peuvent être retrouvées aussi bien en archives que dans la presse ancienne. Le guide explique comment et propose des solutions nouvelles aux difficultés posées par les recherches familiales sur ces ancêtres oubliés, effacés par une vie passée au service des autres. Des expériences et des exemples nombreux guident pas à pas les lecteurs.
L'ouvrage fait aussi la part belle aux récits, parce que le statut de domestique n'est pas homogène : le mot recouvre un éventail très large de situations, depuis celle du jeune domestique agricole, orphelin sans défense qu'on loge dans le fenil, jusqu'à celle de la gouvernante anglaise quasi adoptée par la famille. Les différents statuts sont racontés, à mi-chemin entre l'histoire, la sociologie et la généalogie.
Pour découvrir un univers professionnel méconnu et retracer en archives la vie de ces ancêtres oubliés...
En explorant le grenier de ses grands-parents, Camille découvre une vieille valise avec des costumes et un livre marqué d'une croix gammée ! Son arrière-grand-père se souvient que des Allemands se sont installés dans la maison en 1940. L'un d'eux était un Malgré-nous, un Alsacien enrôlé de force dans l'armée allemande. Il a disparu mystérieusement à la Libération... Camille voudrait restituer la valise à ses descendants car elle contient un carnet dédié à son fils. Mais comment retrouver leur trace ? Et Grand-papi a-t-il dit tout ce qu'il sait ?
Puisqu'ils représentaient 70?% de la population au XVIIIe siècle, nous avons tous des paysans dans nos ancêtres. Pourtant, les amateurs de généalogie et d'histoire familiale ne gardent souvent d'eux que les éléments d'état civil, rien de plus. Si des anecdotes sur la ferme familiale ou les conditions de travail sont mémorisées, c'est parce que les générations qui travaillaient la terre sont encore proches et que des souvenirs ont été transmis oralement.
L'univers paysan fait d'autant moins l'objet de recherches familiales qu'il nous semble connu. Il s'est pourtant radicalement transformé au cours du XXe siècle, des modes de vie et d'exploitation multiséculaire ont disparu. Il est perçu comme monolithique, alors qu'il existait une multitude de statuts et de parcours individuels. Enfin, il semble pauvre en archives, alors que c'est une erreur.
Avec l'engouement actuel pour la généalogie et le déracinement des populations, désormais urbaines, ce guide était indispensable. Il vous permet de redécouvrir et mieux comprendre ce monde rural d'hier. Il vous donne en même temps les démarches pratiques de recherches en archives : comment localiser la ferme ancestrale et retrouver son histoire, comment reconstituer la vie et les soucis de vos ancêtres paysans... pour un beau voyage familial dans l'espace et le temps et un retour virtuel à la terre !
Avant le 11 novembre, la maîtresse propose à la classe d'enquêter sur les noms gravés sur le monument aux morts du village. Léa et Gabriel découvrent dans les archives municipales que l'ancêtre de Léa, un poilu de 14-18, avait un frère jumeau qui a disparu à la fin de la Première Guerre mondiale. Que lui est-il arrivé ? Et si Léa avait des cousins inconnus ?
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
Il n'y a pas une raison de faire de la généalogie, il y en a mille. Ce manuel part de vos souhaits et vous indique comment retracer votre histoire familiale le plus haut possible dans le temps, sur Internet ou en archives.
Il explique comment aller au-delà des noms et des dates en retrouvant les histoires de vie. Il vous donne des idées, des projets à bâtir, des secrets à explorer et des pistes inattendues. Il porte une centaine de témoignages de passionnés, tous différents, pour montrer combien la généalogie est vivante, dynamique et foisonnante. Enfin, il raconte de belles trouvailles d'archives, parce que les sagas familiales réservent toujours des surprises.
L'aventure généalogique rassemble toutes les générations et ne demande que du temps. Elle peut se pratiquer seul ou à plusieurs, avec ou sans budget, sur place ou à distance, pour la plupart des pays du monde, par tous les temps et quel que soit votre âge. L'histoire familiale, celle d'un lointain passé oublié, dort dans les archives. Elle n'attend qu'un chercheur pour renaître et un conteur pour se déployer. Ce manuel, le plus complet qu'on puisse trouver, ouvre les portes du passé.
Les orphelins étaient nombreux autrefois, car l'espérance de vie n'était pas très longue. Que devenaient les enfants à la mort des parents ? Ce guide indique les démarches à suivre pas à pas en archives, pour toutes les catégories de tutelle : les orphelins sous tutelle familiale, les pupilles de la nation, les enfants retirés à leurs parents, mais aussi ceux adoptés à l'âge adulte. Une dernière partie aborde les adultes mis sous tutelle à la demande de leurs proches. Pour découvrir en archives de quoi en finir avec certains secrets de famille.
Après «le Petit livre des départements», voici un nouveau titre présentant une centaine de grandes villes de France et leurs armoiries. Vous apprendrez ainsi l'histoire et les légendes liées à Cahors, cette belle ville du Lot dont le blason s'orne d'un pont. Vous découvrirez les heures dramatiques que Beauvais, cité de Picardie au blason orné de deux bandes rouges encadrant une bande blanche, a connues depuis sa fondation à l'époque gallo-romaine. Vous découvrirez aussi l'histoire de Paris dont le blason s'orne d'une nef argentée. Un tour d'horizon des belles cités de l'Hexagone illustré par de jolies chromos.
Vous venez de déménager dans une maison ancienne et vous voulez en savoir plus sur son passé ? Vous gardez la nostalgie d'enfance de la maison des grands-parents où vous passiez vos vacances, maison détruite par les bombardements de la dernière guerre ou les travaux urbains des années 1960 et vous voudriez retrouver des souvenirs de ce passé effacé ? Vous souhaitez localiser le domicile de votre arrière grand-père, parce qu'il était le premier à s'être installé dans votre région vers 1910 ? ou celui d'un ancêtre laboureur du XVIIIe siècle pour étoffer votre généalogie ? Vous avez la responsabilité d'un bulletin municipal ou d'histoire locale et vous désirez publier le passé d'une boutique traditionnelle, d'une demeure ancienne, d'un bâtiment lié à un évènement historique ou à un fait divers ?... Retracer le passé d'une maison devient une quête multiforme de plus en plus fréquente.
Auteur de plusieurs guides de recherche sur le cadastre, les fonds hypothécaires et les archives notariées, Marie-Odile Mergnac indique ici la démarche à suivre, d'aujourd'hui à l'Ancien Régime. Elle explique d'abord comment trouver des photos, des cartes, des plans car rien n'est plus émouvant que de suivre visuellement les évolutions de la maison étudiée. Puis elle indique comment découvrir les noms des propriétaires et des occupants successifs. Elle précise enfin comment obtenir des descriptions des pièces intérieures et de leur aménagement, quel que soit le siècle.
Alors ? Prêt à vous loger dans le passé ? Ce livre est fait pour vous.
Malika, Céleste, Gabin, Philippe à l'heure de la liberté totale de choix du prénom, cet ouvrage présente les prénoms les plus aimés des Français depuis 1900. Certains existent depuis des millénaires, comme Michel, et font toujours partie de nos prénoms préférés, d'autres sont des créations neuves, comme Ilan, apparus en France dans les années 1970 et toujours à la mode. L'auteure a sélectionné plus de 600 prénoms, regroupés en 365 familles, pouvant englober des prénoms à fortes variantes orthographiques. D'Adam à Zoé, découvrez la signification de tous ces prénoms, leur ancienneté, leur popularité ainsi que des anecdotes marquantes, sans oublier les jours de fête. Que vous ayez à choisir le prénom de votre enfant, ou envie de connaître la signification du vôtre, ce livre est pour vous.
En généalogie, rien n'est plus précieux qu'un acte de mariage puisqu'on y trouve mentionnés les parents des deux mariés : quatre ancêtres nouveaux d'un coup ! S'il n'est pas retrouvé, la remontée dans l'arbre se fait plus lente : le généalogiste doit bâtir des hypothèses, recouper, supputer, confirmer... Le détour par les archives notariées peut alors s'avérer utile, puisque, sous l'Ancien Régime, même les couples sans le sou passaient contrat devant notaire. Mais il existe d'autres documents riches d'informations : les sommations respectueuses qu'adressent les enfants majeurs aux parents refusant leur union ; les archives liées aux cas particuliers que sont les mariages de rosières, de militaires à la fin de l'Empire, d'officiers ou de quelques curés sous la Révolution ; celles des divorces, qui fournissent le pourquoi de la rupture ; les dispenses de mariage, qui peuvent livrer trois ou quatre générations d'un seul coup en même temps que les motifs personnels à l'origine de la demande... Ce livre permet précisément d'explorer toutes les pistes d'archives qui s'offrent à vous. Pas à pas, sur chacun de ces thèmes liés au mariage, il indique la démarche, les cotes, les lieux de recherche, avec des exemples concrets. Cette troisième édition augmentée complète utilement la démarche avec les derniers outils Internet, pour que ces documents généalogiques ne puissent plus vous échapper.
On lit souvent des propos du genre "La femme au XIXe siècle était comme ci, celle du XVIIIe siècle comme ça...".
Or, il n'y a pas une femme, mais des femmes. Lorsqu'on en parle au singulier, c'est qu'on évoque seulement celle qui a laissé des écrits, publié des mémoires, bref la femme issue de la noblesse ou de la haute bourgeoisie, la femme lettrée, femme de lettres parfois.
Comme ces dictionnaires qui mettent des vignettes sur les costumes du Moyen Âge à nos jours et qui ne dessinent que des costumes de cour : les petits écoliers sont persuadés, en toute bonne foi, que leur aïeule portait sous Louis XIV une haute perruque poudrée garnie de perles et de plumes ainsi qu'une vaste robe à cerceaux. Combien de femmes étaient habillées ainsi en réalité ? Une toute petite minorité. La minorité qu'on appelait à la Belle Époque "le monde" ou "la société", comme s'il n'existait rien en dehors d'elle.
C'est tout le mérite de cet ouvrage de tenter d'aborder, époque par époque, les différentes conditions féminines.
Synthèses et portraits issus de généalogies ou d'interviews se succèdent pour analyser au mieux et de façon très vivante, la multiplicité des parcours. Une approche originale qui permet une véritable compréhension du passé.
En généalogie, on commence par collecter des noms, des dates, des lieux.
Puis on veut découvrir le quotidien de ses ancêtres. S'ils ont été enseignants, la recherche est plus facile que pour d'autres professions, tant les fonds d'archives sont nombreux... et tant l'endogamie est fréquente : le généalogiste n'entame pas des travaux pour une seule personne mais souvent pour plusieurs.
« Entrée à dix-sept ans à l'ENI de Poitiers, raconte une normalienne de la promotion 1931-1934, j'ai suivi la même voie que 25 membres de ma famille. Mon grand-père paternel avait commencé sa carrière de maître d'école en 1870 ».
Les fonds d'archives vous livreront ses notes et ses diplômes, même si sa scolarité remonte au milieu du XIXe siècle, jusqu'à son départ à la retraite, en passant par ses démêlés éventuels avec l'inspection, la mairie, les parents d'élèves...
Vous lirez les commentaires de la hiérarchie académique sur ses qualités d'enseignant et vous constaterez que les inspecteurs ont souvent la dent dure (« Peu intelligent et d'une présomption en rapport inverse de sa valeur » en 1871). Vous découvrirez le nombre d'élèves à sa charge ("Convient-il de laisser plus longtemps 90 espiègles sous la direction d'un seul maître ? » en 1875), la description de son logement, ses décorations ou ses blâmes et bien d'autres choses encore.
Thème par thème, le guide vous indique où chercher et comment.
Un outil indispensable en salle d'archives, pour tous les historiens de leur famille.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ?
Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul.
Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Enfin, le fonds des hypothèques, complexe mais riche d'informations, permet de prolonger la recherche vers les documents notariés ou judiciaires, et d'obtenir la description précise des biens. Il est aussi un outil précieux pour une cousinade car il fournit les dates et lieux de naissance, parfois de décès, et d'habitation des descendants, si des terres sont restées dans la famille.
Cette édition augmentée complète la démarche avec de nouveaux exemples, les dernières mises à jour Internet et des informations complémentaires sur le cadastre rénové des années 1930.
Après «le Petit livre des départements», voici un nouveau titre présentant une centaine de grandes villes de France et leurs armoiries. Vous apprendrez ainsi l'histoire et les légendes liées à Cahors, cette belle ville du Lot dont le blason s'orne d'un pont. Vous découvrirez les heures dramatiques que Beauvais, cité de Picardie au blason orné de deux bandes rouges encadrant une bande blanche, a connues depuis sa fondation à l'époque gallo-romaine. Vous découvrirez aussi l'histoire de Paris dont le blason s'orne d'une nef argentée. Un tour d'horizon des belles cités de l'Hexagone illustré par de jolies chromos.
En généalogie, la première chose que le cadastre vous apporte, ce sont des indications sur la fortune foncière personnelle de votre ancêtre : le type de biens qu'il possède (champs, bois, appentis, vignes, maisons, etc.), leur valeur, leur date d'achat ou de revente... Vous avez sous les yeux, en une seule page, toute une vie d'acquisition : est-il né pauvre et mort riche ou vice-versa ? Le cadastre offre une vue synthétique qui s'inscrit dans la durée, à l'inverse des documents notariés. Car un contrat de mariage ou un inventaire après décès donnent une vision de la situation à un moment précis, mais ne permettent pas de détecter les évolutions et les revers de fortune éventuels.
Le cadastre apporte aussi des informations sur les maisons. C'est par lui que vous commencez si vous souhaitez connaître l'histoire de telle ferme, de telle demeure, parce que vous y vivez, ou qu'elle a appartenu à un aïeul. Car il vous la montre sur deux plans à plus d'un siècle d'écart, et des registres vous permettront de savoir à quand remontent les modifications.
Par ailleurs, si l'état civil de la commune où vivaient vos ancêtres a été détruit, le cadastre constitue alors une clé d'entrée rapide vers les fonds des hypothèques, qui fournit souvent des dates et lieux de naissance, parfois de décès, ainsi que les adresses des descendants si les propriétés sont restées dans la famille.
Remonter en ligne directe l'ascendance de votre père ou de votre mère sur plusieurs siècles ne vous prendra pas plus d'une semaine (sauf enfant trouvé, ancêtres originaires de régions bombardées au cours des dernières guerres ou famille venue de pays où les modalités d'accès aux documents anciens sont différentes). Si des passionnés y consacrent des années, ce qui peut inquiéter le néophyte, c'est parce qu'ils cherchent l'ascendance de toutes leurs branches et qu'ils ont envie de retrouver la biographie de chacun - ou presque.
Il sera toujours temps de vous lancer ultérieurement dans un travail d'historien si cela vous tente. Dans l'immédiat, ce guide pratique fournit les bases de toute recherche généalogique. Il vous indique comment retrouver vos ancêtres un par un, avec leurs dates, leurs lieux de vie et leurs métiers, à travers les archives essentielles : l'état civil et les registres paroissiaux. Il détaille les démarches à faire sur place ou, dans la majorité des cas désormais, sur Internet.?Il donne des astuces de recherche, des conseils en cas de blocage, des repères pour utiliser au mieux les indexations et les généalogies en ligne, et les pièges à éviter.?Ce livre indispensable aussi bien aux débutants qu'aux généalogistes chevronnés doit faire partie de la bibliothèque de base de tout historien des familles.
On ne choisit ni son prénom ni son nom de famille, on les reçoit. Mais si le prénom vient au monde avec nous, le nom est vieux de 800 ans. Il nous rattache à une histoire familiale, à des récits des origines parfois fantasmés, il est plus ou moins facile à porter... Dans tous les cas, les patronymes ont un sens précis, ils ne sont pas de simples associations de sonorités.?Ce sens nous semble parfois limpide (Petit, Legrand, Meunier...), mais peut être trompeur ou indéchiffrable au premier coup d'oeil. Comment faire alors pour trouver la signification? Cet Atlas des noms de famille fournit des cartes de localisation et l'étymologie des noms les plus portés ou les plus connus. Surtout, il explique comment les patronymes se sont formés, quelles sont leurs caractéristiques régionales, leurs déformations orthographiques au fil des siècles, combien de noms se sont déjà éteints ou vont prochainement disparaître, comment ils migrent, comment il faut les analyser pour les comprendre... le tout avec des centaines d'anecdotes sur les noms les plus incroyables, les transformations les plus inattendues, les traductions pratiquées autrefois près des frontières, les changements de noms demandés, les patronymes qui sont devenus des prénoms ou bien des noms communs, les mythes les plus fréquents, notamment autour des noms nobles et de la particule... jusqu'à la façon dont chacun d'entre nous peut vivre, bien ou mal, avec le nom qu'il a reçu... Bref, le curieux découvrira avec plaisir et amusement les subtilités des patronymes, tandis que le chercheur qui veut étudier la signification du sien découvrira comment faire.