Une mauvaise fée transforme Babiole en singe. Cette monstrueuse métamorphose marque le début d'une série d'aventures où notre héroïne devra faire preuve d'une grande bravoure...Ce recueil, qui réunit Babiole, La Belle aux cheveux d'or et Belle-Belle, déploie toute l'imagination d'une conteuse virtuose.TOUT POUR COMPRENDRE- Notes lexicales- Biographie de l'autrice- Contexte culturel- Genre de l'oeuvre- Pour mieux interpréter- Chronologie et carte mentaleTOUT POUR RÉUSSIR- Questions sur l'oeuvre- Histoire des arts- Éducation aux médias et à l'informationGROUPEMENTS DE TEXTES- Métamorphoses à travers les siècles- S'habiller en garçonCAHIER ICONOGRAPHIQUE.
Un oiseau bleu, un nain jaune, une fée écrevisse, une princesse changée en biche, un verger de fruits confits, un attelage de souris, un pâté d'oiseaux chantant... Mme d'Aulnoy transporte ici son lecteur de merveille en merveille. Ces contes de fées, composés en manière de jeu à la fin du XVII? siècle, visaient avant tout à divertir, amuser, étonner la Cour : cette légèreté séduit encore aujourd'hui, et c'est avec plaisir qu'on suit la conteuse dans les palais enchantés, parmi les créatures féeriques et les animaux fabuleux. Mais il faut redécouvrir aussi la modernité de ces contes : leur vocation revendiquée à n'être que jeux, leur absence de morale, leur ambiguïté constante en font une oeuvre non dénuée d'ironie, et dont l'audace étonne.
La Belle aux Cheveux d'Or est si jolie que le roi de la contrée voisine veut la prendre pour femme. Il charge le bel Avenant de convaincre la princesse de l'épouser. Mais le coeur de la Belle est un royaume difficile à conquérir, et le jeune ambassadeur n'est pas au bout de ses peines : aidé de son petit chien Cabriole, d'une grosse carpe, d'un corbeau et d'un hibou, il devra retrouver une bague perdue, tuer le terrible géant Galifron, affronter deux dragons et descendre dans une fosse remplie de serpents...
La Belle aux cheveux d'or est suivie du Nain jaune et de L'Oiseau bleu. Loin du merveilleux bon enfant, ces trois contes, choisis parmi les Nouveaux contes de fées, peignent des univers inquiétants, peuplés de monstres et de créatures malveillantes.
Si les contes de Madame d'Aulnoy sont à la mode au XVIIe siècle, force est de constater qu'ils ne sont pas vraiment passés à la postérité. Et pourtant, ils sont marqués par une grande richesse, une exubérance remarquable dans l'usage du merveilleux et un goût pour l'émancipation féminine ! Dans Belle Belle ou le Chevalier Fortuné, une jeune fille déguisée en homme pour sauver son père, séduit un prince en même temps que la soeur de celui-ci, et sème le trouble dans le genre... La Belle Cheveux d'or, elle, est si jolie que le roi de la contrée voisine veut la prendre pour femme.
Mais le coeur de la Belle est un royaume difficile à conquérir, et le jeune ambassadeur n'est pas au bout de ses peines.
Ces deux nouvelles constituent une lecture savoureuse pour les enfants et les adultes qui aiment jouer avec les codes du conte.
Les fées l'avaient promis : Marcassin devait être un prince comblé. Entouré d'une cour qui le couvre d'éloges, promis à la femme qu'il aime, le futur souverain est cependant au comble du malheur. Il a tout pour être monarque ; tout, sauf l'apparence : le pauvre Marcassin est un sanglier.
Par le prisme du merveilleux, Le Prince Marcassin interroge l'influence de la nature et de la culture sur les êtres. Dans ce conte de fées qui inspira La Belle et la Bête, Mme d'Aulnoy se livre surtout à la critique d'une société soumise au règne de l'apparence et de la flagornerie : la cour de Louis XIV.
Le Prince Marcassin est suivi de La Belle et la Bête, de Mme Leprince de Beaumont, et de Babiole.
o Objet d'étude : Le monstre, aux limites de l'humain
o Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes
o Prolongement : Monstres et métamorphoses.
Classe de sixième.
Les fées l'avaient promis : Marcassin devait être un prince comblé. Entouré d'une cour qui le couvre d'éloges, promis à la femme qu'il aime, le futur souverain est cependant au comble du malheur. Il a tout pour être monarque ; tout, sauf l'apparence : le pauvre Marcassin est un sanglier.
Par le prisme du merveilleux, Le Prince Marcassin interroge l'influence de la nature et de la culture sur les êtres. Dans ce conte de fées qui inspira La Belle et la Bête, Mme d'Aulnoy se livre surtout à la critique d'une société soumise au règne de l'apparence et de la flagornerie : la cour de Louis XIV.
Le Prince Marcassin est suivi de La Belle et la Bête, de Mme Leprince de Beaumont, et de Babiole.
- Objet d'étude : Le monstre, aux limites de l'humain - Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes - Prolongement : Monstres et métamorphoses.
Il était une fois une princesse à laquelle il ne restait plus rien de ses grandeurs passées.
Elle prit donc la résolution de vendre le peu qui lui restait, et de s'en aller bien loin avec ses trois filles, s'établir dans quelque maison de campagne, où elles feraient une dépense convenable à leur petite fortune.
Des princesses, orphelines ou abandonnées à un sort funeste, des pères un peu naïfs, des marâtres et des belles-soeurs cruelles, des princes amoureux métamorphosés en oranger, des ogres voraces ou encore des équipages fabuleux tirés par des licornes, voici trois des contes de Madame d'Aulnoy parmi les plus connus.L'Oiseau bleu - Le conte le plus célèbre de Madame d'Aulnoy avec ses vers magiques : "Oiseau bleu, couleur du temps, vole à moi promptement" nous narre les heurs et malheurs de la belle Florine et du roi Charmant transformé en oiseau par la terrible fée Soussio, marraine de l'horrible Truitonne et amie de sa méchante mère...L'Oranger et l'abeille raconte l'histoire de cette princesse qui, encore bébé, est recueillie par un couple d'ogres terribles. Par quel miracle la fillette va-t-elle échapper à la gloutonnerie de ses parents adoptifs ? Petite sauvageonne qui ne connaît pas le langage des princes, comment va-t-elle pouvoir sauver ce charmant jeune homme qui un beau jour se retrouve sur son chemin ?Babiole aussi était encore bébé lorsque la vilaine Fanfreluche lui a jeté un sort épouvantable : transformée en guenon, elle aura toutes les peines à se faire reconnaître par sa propre mère, qui ne le supportera pas...Reprise à l'identique des textes parus dans le recueil du même nom (collection "Contes illustrés").
" pour les hommes, lorsqu'il est nuit, ils se promènent à pied sur le Prado.
Ils abordent les carrosses où ils voient des dames, s'appuyant sur la portière et jetant des fleurs et des eaux parfumées sur elles. " Accusé de complot contre son vieux mari, la baronne d'Aulnoy doit s'exiler en Espagne. La célèbre conteuse décrit brillamment les fastes et les intrigues de la Cour de Madrid et s'inspire des moeurs galantes du Prado pour inventer quelques contes légers sur les passions espagnoles.
Lettres choisis de la Relation du Voyage d'Espagne, publiée en 1690.
Madame d'Aulnoy (1650-1705) fut l'un des auteurs les plus lus et les plus appréciés de son époque.
Femme de lettres française à la réputation sulfureuse, tour à tour gazetière, romancière, auteur de contes de fées, de romans historiques, ses Mémoires des cours européennes firent sa renommée au-delà des frontières. Sa Relation du voyage en Espagne (1691) est une mine d'informations sur la Cour et la vie galante de l'Espagne au XVIIe siècle. Ses impressions et la narration de son séjour à Madrid sont parsemées de dissertations historiques et géographiques.
Madame d'Aulnoy montre surtout comment la galanterie joua un rôle capital à la cour de Philippe IV. Elle en décrit les spécificités, du cicisbeo jusqu'aux amancebadas, et en déroule toute la cérémonie dont la grâce ultime consistait à montrer au galant, auquel la dame avait déjà offert tous ses charmes, son pied nu.
De la fin du règne de louis xiv à la révolution française, une exceptionnelle floraison de conteurs et de conteuses s'adonne au conte merveilleux sous toutes ses formes.
Mme d'aulnoy occupe une place remarquable au sein de cette production: elle n'est pas seulement l'initiatrice, dès 1690, de cette vogue qui s'épanouit dans la dernière décennie du xviie siècle. elle constitue également, par l'ampleur et l'originalité de sa production féerique, l'une des représentantes privilégiées de ce genre. elle illustre en effet la naissance du conte féminin, terrain d'épanouissement d'une écriture mondaine et galante souvent empreinte de romanesque.
Plus largement, c'est au carrefour des cultures orale et écrite, populaire et littéraire, ancienne et moderne que ces contes puisent leur inspiration, leur esthétique, leur poétique ainsi que leur riche imaginaire. les amateurs de féerie ne s'y trompèrent pas : ils plébiscitèrent les vingt-cinq contes de fées de mme d'aulnoy, dont le succès fut immédiat et durable. traduits en anglais avant ceux de perrault, plus souvent réédités, au xvllle siècle, que ceux de son confrère, ils furent salués, exploités, voire pillés par les conteurs ultérieurs.
Mais ils subirent aussi le contrecoup d'une double dépossession : la relégation aux rayons souvent dépréciés de la littérature enfantine; et leur récupération par une culture populaire peu soucieuse de leur auteur. c'est à la redécouverte de ces contes de fées qu'invite donc le présent ouvrage, présentant, avec un premier volume de contes des fées, l'intégralité des contes et de leurs récits-cadres.
Dans ce conte de fée, Gracieuse est une princesse que le roi son père a nommée ainsi tant elle est aimable et belle. Elle mène une vie dorée jusqu'à la mort de sa mère. Puis son père épouse l'horrible et richissime duchesse Grognon qui cherche à la martyriser. Mais le prince Percinet, doué de pouvoirs féériques, veille sur elle, déguisé en page.
Il était une fois les mésaventures amoureuses de la princesse Toute-Belle. Jolie, elle avait un coeur de pierre et était orgueilleuse. Elle refusait sa main à tous les prétendants. Sa mère, la reine, désespérée, va demander secours à la fée du désert mais rencontre le Nain jaune qui lui sauve la vie. Pour le récompenser, elle lui promet la main de sa fille. Toute-Belle fait le même chemin et la même promesse au Nain jaune, mais ne la tient pas et dit « oui » au roi des mines d'or. Quel destin lui réserve le sort ?
Finette Cendron est l'héroïne d'un conte de fée. Elle est la plus jeune des trois filles d'un couple royal ruiné contraint d'abandonner ses enfants, dans les bois. Mais grâce à sa sagesse et l'aide d'une fée, sa marraine, Finette parvient à retrouver ses parents, à refaire leur fortune. Elle sauve aussi ses soeurs malgré leur ingratitude. On trouve dans ce conte des éléments (personnages et événements) très proches des contes de Perrault Cendrillon et Le Petit Poucet.
A la fin du XVIIème siècle Mme d'Aulnoy a mis à la mode un genre littéraire jusqu'alors plus populaire qu'aristocratique : les « contes de fées » (des histoires qui se déroulent dans un monde imaginaire, hors de tout lieu et de toute époque identifiables, et où la magie est toute puissante). Dans les Contes de fées de Mme d'Aulnoy les animaux jouent un rôle important : parfois ils aident le héros qui a été bon pour eux, et qui triomphe grâce à eux (La belle aux cheveux d'or). Mais le plus souvent, comme dans les trois autres contes de ce recueil, ils sont, en réalité, des humains métamorphosés par une fée, soit pour les punir, soit pour les aider.
De la fin du règne de Louis XIV à la Révolution française, une exceptionnelle floraison de conteurs et de conteuses s'adonne au conte merveilleux sous toutes ses formes. Mme d'Aulnoy occupe une place remarquable au sein de cette production : initiatrice, dès 1690, de cette vogue qui s'épanouit à la fin du XVIIe siècle, elle constitue également, par l'ampleur et l'originalité de sa production féerique, l'une des représentantes privilégiées de ce genre. Elle illustre en effet la naissance du conte féminin privilégiant une écriture mondaine et galante souvent empreinte de romanesque. Plus largement, c'est au carrefour des cultures orale et écrite, populaire et littéraire, ancienne et moderne que ces contes puisent leur inspiration, leur esthétique, leur poétique, ainsi que leur riche imaginaire.
Les amateurs de féerie ne s'y trompèrent pas : ils plébiscitèrent les vingt cinq contes de fées de Mme d'Aulnoy, dont le succès fut immédiat et durable. Traduits en anglais avant ceux de Perrault, plus souvent réédités, au XVIIIe siècle, que ceux de son confrère, ils furent salués, exploités voire pillés par les conteurs ultérieurs. Mais ils subirent aussi une double dépossession : la relégation aux rayons souvent dépréciés de la littérature enfantine ; et leur récupération par une culture populaire peu soucieuse du texte littéral. C'est à la redécouverte de ces contes de fées qu'invite donc le présent ouvrage.
Un roi et une reine vivent un bonheur parfait, seulement le roi voisin est jaloux. Il met en place un plan pour détruire leur bonheur. Ses manigances marchent, et il réussit à tuer le gentil roi. Il fait alors de ce royaume un chaos. La reine et sa fille ne savent plus quoi faire. Mais une petite souris bienveillante arrive bientôt à leur secours...
Ce conte de Madame d'Aulnoy pourrait bien être à l'origine du mythe de la petite souris.
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Un roi veuf a un fils bossu. Triste d'être seul, il remarie une belle princesse. Peu de temps après, celle-ci tombe enceinte d'un fils. Le bossu étant très ambitieux, a peur que son père ne le considère plus comme le premier héritier du royaume. Alors il va consulter une fée. Elle lui dit ne pas vouloir faire de mal au nouveau-né mais que si par chance il venait à mourir, elle ferait en sorte que le roi et la reine ne puissent avoir aucun autre enfant. Le bossu se prépare donc à commettre un crime impardonnable....
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Un roi et une reine ont un fils laid et méchant nommé Furibon. Le roi fait son enquête et retrouve un héritier lointain qu'il préfère à tout prix avoir pour futur roi plutôt que son propre fils. Ce garçon du nom de Léandre est beau à couper le souffle et doté de gentillesse. La jalousie de Furibon est telle qu'il maltraite Léandre pour se venger des moqueries qu'il subit au quotidien en se baladant à ses côtés. Plus le temps passe, plus il devient dangereux pour Léandre de côtoyer son bourreau...
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Une reine donne naissance à une petite fille qu'elle nomme Aimée. Un jour, lors d'une ballade en mer, le bateau sur lequel voyage Aimée échoue sur une île. Mais le lieux est déjà occupé. Un couple d'Ogres mangeurs d'humains vit ici, et quand l'ogresse trouve Aimée, une sensation étrange et inconnue naît en elle...
Ce conte classique du folklore français invite à plonger dans une histoire touchante à l'imaginaire riche et fantastique.
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Un roi en guerre protège sa femme enceinte en la cachant dans un château au coeur d'une forêt. La reine s'ennuie et décide de retrouver son mari à cheval. Mais elle a un accident. Une géante la trouve au pied d'un arbre et l'invite à habiter avec elle. Cette géante n'est autre que la fée Lionne. Et celle-ci retient la reine prisonnière dans son domaine. Un jour, la reine sauve une petite grenouille d'un corbeau. Pour la remercier, la grenouille va lui venir en aide...
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Dans un royaume, un roi et une reine sont fous amoureux l'un de l'autre. La reine n'arrive pas a tomber enceinte, et elle pense que son compagnon en est déçu. Elle se rend souvent à une fontaine pour se recueillir et souhaiter d'avoir un enfant. Un jour, une petite écrevisse apparaît dans la fontaine et lui parle. Elle lui dit savoir comment l'aider, et de lui faire confiance. La reine accepte et l'écrevisse se transforme en vieille femme. Ensemble, elles partent rendre visite au palais des fées...
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.
Deux rois se mènent la guerre. L'un remporte le conflit. Le perdant se retrouve dans une position de faiblesse et demande à toutes les personnes de son royaume de se mobiliser pour se battre à ses côtés. Un seigneur trop vieux pour partir en guerre s'inquiète de devoir aider le roi. Heureusement, l'une de ses trois filles propose de se changer en homme pour y aller à sa place...
Ce conte de Madame d'Aulnoy nous rappelle vaguement le conte de « Mulan dans un contexte différent, en France, avec le personnage principal recevant l'aide précieuse d'une fée.
Marie-Catherine d'Aulnoy (1651-1705), plus connue sous le nom de Madame d'Aulnoy, est une femme de lettre originaire de France. Elle utilise le conte pour critiquer la société de son époque, dans la même veine que Charles Perrault. Ses contes les plus célèbres sont notamment : « La bonne petite souris » ; « Finette Cendron » ; ou « La princesse Rosette ». C'est à Madame d'Aulnoy que l'on doit l'origine du terme « conte de fae », aujourd'hui « conte de fée », célèbre et utilisé dans le monde entier.