Beethoven : un nom fabuleux, gigantesque, écrasant, et puis quelques tubes, la plupart dénaturés, souvent parodiés, pom pom pom pom....
Près de deux cents ans après sa disparition, sa musique pourtant n'en a pas fini de révéler sa profondeur, sa complexité, sa munificence, comme si nos temps troublés y trouvaient à la fois un échos et un salut. Il faut dire que cet homme a accompli l'incroyable défi, aujourd'hui inconcevable, de ne jamais désespérer de la grandeur de l'humanité, ni de l'art, ni de l'amour, et de composer des monuments de musique à la gloire de cette foi.
Guerres, épidémies, affres sentimentales et étyliques, solitude, surdité, rien n'empêchera Ludwig Van Beethoven de poursuivre son oeuvre jusqu'à l'apothéose radieuse de l'Ode à la Joie et l'immense donation aux générations futures de ses quatuors à cordes.
En vingt-cinq ans, sa musique aura exploré toutes les nuances de l'âme humaine, dans sa noirceur, dans sa pureté, ses joies et ses tourments. Elle parviendra même à en grandir la puissance - il suffit de suivre l'archet du 2ème mouvement larghetto de son unique Concerto pour violon pour se sentir en paradis.
En 2021, année de commémoration napoléonienne, nous vous invitons à travers de nombreux ouvrages, classiques ou plus contemporains , y compris pour les enfants, à vous lier d'amitié avec Beethoven qui, voici deux cents ans, composa sa dernière sonate pour piano dont l'arietta reste probablement la plus juste et la plus aimante de la réconciliation entre les forces opposées de nos inaliénables pulsions.
C'est dans le cycle des quatuors que le génie de Beethoven s'est montré le plus visionnaire. Il y multiplie les innovations compositionnelles et stylistiques les plus radicales, ouvrant sur de nouveaux contenus expressifs avec un éventail sans précédent de sentiments et d'émotions. C'est là aussi que ce musicien-philosophe a mis toute la puissance et la subtilité de sa pensée, sachant se montrer aussi bien chaleureusement fraternel qu'âprement exigeant.
Bernard Fournier invite le lecteur à l'ascension de cet « Himalaya musical » en adoptant un langage dépouillé de termes techniques inutiles. Dans un parcours en seize stations, quatuor par quatuor et suivant l'ordre chronologique de leur composition, il rend compte de l'esprit de chaque oeuvre, de l'inventivité de l'écriture et de la diversité expressive des mouvements comme des grandes sections. Il accompagne le lecteur auditeur dans les contrastes extrêmes de cette musique, ses sommets vertigineux et ses vastes points de vue, ses à-pics profonds, ses gouffres mystérieux, ses torrents puissants et de manière générale, dans sa beauté sublime et son âpre rudesse.
L'intention de Romain Rolland dans cette biographie de Ludwig van Beethoven, parue pour la première en 1903 aux Cahiers de la Quinzaine de Charles Péguy, est de faire respirer aux hommes « le souffle des héros ». Du compositeur il dresse un portrait élevé : « J'appelle héros seuls ceux qui furent grands par le coeur. » C'est grâce à l'héroïsme que Beethoven fut plus fort que son propre destin. Ce sujet ne quittera d'ailleurs jamais l'esprit de Rolland.
Voici, racontée depuis son enfance triste et misérable jusqu'à la maladie qui le conduisit à la mort, la vie d'un homme qui a beaucoup souffert et qui pourtant a fait de la Joie un thème central de son oeuvre. Comme le souligne Jean Lacoste dans sa longue présentation, il ne s'agit pas ici d'une oeuvre de musicologie : « La vie de Beethoven ne relève pas seulement de l'histoire de la musique ; elle doit apporter par son exemple un soutien et un réconfort, la présence d'un ami, d'un confident. C'est probablement cette dimension humaine, cette leçon de «résilience» - pour employer un terme récent - que Rolland retrouve dans la figure fraternelle de Beethoven. » Au moment où l'oeuvre de Romain Rolland connaît un second souffle, cette Vie de Beethoven apporte un éclairage décisif à la connaissance de cette pensée inspirée et généreuse.
Jean Lacoste est philosophe et germaniste. Auteur de plusieurs ouvrages sur Goethe, il a également traduit Nietzsche et Walter Benjamin. Depuis de nombreuses années, il s'intéresse à l'oeuvre de Romain Rolland, dont il a établi l'édition du Journal de Vézelay 1938-1944 (Bartillat, 2012).
La série des dix-sept Quatuors à cordes constitue certainement un des champs privilégiés où s'exprime le génie beethovénien.Cet ensemble, dont la composition s'est étalée tout au long de la période créatrice du musicien, ne saurait souffrir une écoute distraite. Il s'agit en effet d'oeuvres trop riches et trop profondes pour qu'on ne les scrute pas attentivement afin de discerner dans l'intime même de leur structure les secrets de leur grandeur et de leur force.C'est à quoi s'est attaché l'auteur de ce livre-guide qui, s'adressant principalement à l'amateur, ne prétend nullement à l'originalité sur le plan de l'histoire et de l'analyse. Sa démarche et sa visée sont ici essentiellement pratiques.Il s'agit d'études faites pour être lues conjointement à l'audition, au fur et à mesure du déroulement de chacun des quatuors; une manière d'aider le lecteur-auditeur à identifier les étapes du discours, à suivre pas à pas la pensée musicale, pour prendre avec elle ce contact que la simple répétition d'une oeuvre écoutée passivement ne suffit pas à assurer.Par l'utilisation d'un langage accessible et l'insertion de nombreuses citations musicales volontairement très simples, ce livre cherche avant tout à faciliter l'intelligence d'un des plus hauts sommets de la musique occidentale.Jacques Lonchampt. Né en 1925, il a été pendant treize ans rédacteur en chef du Journal Musical Français, organe des JMF, et critique musical de Télérama. Il a écrit notamment un Dictionnaire pratique des compositeurs et des oeuvres musicales et L'Opéra aujourd'hui. Entré au Monde en 1961, il en est actuellement le chef de la rubrique musicale.
Beethoven par lui-même est un florilège d'écrits de la main même du compositeur, depuis la première lettre connue de Ludwig enfant disant son amour de la musique, jusqu'aux dernières, rédigées juste avant sa mort, dans lesquelles il implore des subsides pour se nourrir.
Composée d'extraits de lettres et nourrie des célèbres cahiers de conversation (auxquels recourait Beethoven devenu sourd), cette anthologie, réalisée et commentée par Nathalie Krafft, dessine une passionnante autobiographie.
En pénétrant dans le plus intime de sa vie, elle redonne chair au musicien sans doute le plus statufié de l'histoire, et fait apparaître un Beethoven complexe, excessif, profondément humain, très drôle, et toujours génial.
La nouvelle traduction de Sofiane Boussahel apporte à ces textes une saveur inédite.
« Plus que toute autre, l'oeuvre de Beethoven possède le don de la migration perpétuelle, et rend un sens au mot galvaudé d'"immortelle". Ce privilège est celui de l'esprit moderne ».
Pas de meilleur point de vue que celui d'un autre compositeur pour pénétrer le dédale créatif de Beethoven. André Boucourechliev met ici en évidence tout ce qui lie l'atelier du compositeur au monde, au contexte historique et psychologique qui entoure chaque création. Ce livre est une notice poétique, un mode d'emploi, la clef d'un trésor, un passeport : on ne saurait partir en expédition auditive sans lui.
Personnalité hors du commun et puissant génie créateur, Beethoven est une de nos plus grandes figures artistiques. C'est à lui qu'on fait appel dans les grandes circonstances, face aux événements tragiques pour ramener l'espoir mais aussi pour célébrer fastueusement les grandes causes. Depuis deux cents ans, son humanisme fraternel et son sens de la grandeur nous poussent à avancer et à regarder vers le haut. En même temps peu d'artistes ont aussi profondément scruté leur monde intérieur en y cherchant l'universel.
Populaire dans certaines pages symphoniques, il est par excellence un musicien visionnaire dans ses quatuors à cordes et ses sonates. Témoin de son temps, il a su recueillir l'héritage du passé tout en anticipant l'avenir. Il n'a cessé jusqu'à nos jours d'être le contemporain de toutes les générations qui l'ont suivi et il n'a cessé de parler à chacun.
Après bien des études biographiques, Bernard Fournier s'attache à nous faire comprendre son oeuvre. En scrutant les partitions comme avec un microscope et en s'appuyant sur des notions telles que l'énergie, l'espace et le temps, il éclaire l'importance du geste compositionnel et dégage ainsi ce en quoi la musique représente selon son auteur «une révélation plus haute que toute sagesse et toute philosophie». Beethoven Tondichter (poète en sons) est aussi un Tondenker (penseur en sons); la pensée qu'il exprime fait preuve d'une originalité qui, toujours remise en question, explore sans cesse de nouveaux domaines et met en jeu des énergies nouvelles.
Bernard Fournier est l'auteur d'une thèse d'État sur la modernité de Beethoven et d'une somme sur le quatuor à cordes (Fayard, 4 volumes, 1999-2010).
Depuis sa création en 1824, la Neuvième Symphonie est l'oeuvre qui, dans la musique occidentale, a connu le plus grand succès politique, jusqu'au choix récent de l'«Ode à la joie» comme hymne officiel de l'Europe.Esteban Buch entreprend de rendre compte de cet éclatant parcours et d'analyser les multiples composantes de ce phénomène sans précédent : la naissance des hymnes politiques de la modernité nationale (God Save the King, La Marseillaise, L'Hymne à l'Empereur de Haydn, etc.), que Beethoven réussit à transfigurer dans son langage symphonique ; la tentative des compositeurs romantiques de faire de la Neuvième la pierre d'angle d'un culte de la musique ; la constitution, tout au long du XIX? siècle, du mythe de Beethoven, auquel participent célébrations et commémorations, des funérailles en 1827 au centenaire, en passant par l'érection de la statue de Bonn en 1845.Toutes les familles politiques, mêmes les plus opposées, républicains français et nationaux-socialistes allemands, par exemple, se sont emparées du finale de la Neuvième jusqu'à la république raciste de Rhodésie qui en a fait son hymne national.Comment le message universaliste utopique de Schiller - «Tous les hommes deviennent frères» - a-t-il pu faire l'objet de tant d'appropriations contradictoires et incompatibles ? Paradoxe déconcertant et emblématique de la culture européenne dont l'exploration, qui n'avait encore jamais été tentée, arrive à l'heure au rendez-vous de l'Histoire.
"j'ai essayé d'appliquer au domaine de la musique, où je suis novice, la méthode que j'avais élaborée au cours de ma réflexion sur les grandes oeuvres de l'art cinématographique.
Ce qui m'intéressait alors de montrer, c'est ce que j'appelais l'invention des "formes". il en sera ici de même pour mozart et beethoven. j'ai voulu cerner chez eux le processus de la création de formes absolument originales. ".
«Vénération et effroi : ce sont les deux mouvements contraires que suscitent toujours les dernières compositions de Beethoven, et l'admiration paraît encore aujourd'hui se nourrir d'une étrangeté irréductible. Cette étude affronte l'énigme en associant musicologie, sociologie et psychanalyse au lieu de les séparer, comme on l'a fait le plus souvent à propos de Beethoven. En face de son audace formelle, se souvenir que c'est d'abord en virtuose improvisateur que Beethoven conquiert de son vivant une célébrité sans précédent. S'agissant de son isolement tragique, réfléchir au nouveau statut de créateur qu'il s'est arrogé. Devant sa démesure, interroger le fantasme de parentalité qui lui fait annexer son neveu Karl. Il est rare que l'art domine avec cette force de Titan : celle de Beethoven, de Michel-Ange ou de Shakespeare. Peut-on aimer un tel pouvoir sans le redouter ?» Rémy Stricker.
Avec ses trente-deux sonates pour piano, beethoven a livré l'un des corpus d'oeuvres les plus importants de toute l'histoire de la musique.
Composées sur plusieurs décennies, elles étaient destinées, chose tout à fait inhabituelle, à l'exécution privée comme publique. le pianiste et musicologue érudit charles rosen en fournit ici un guide concis à l'attention des pianistes amateurs et professionnels, mais aussi de ceux qui, sans la pratiquer, écoutent la musique en connaisseurs. situant d'abord les sonates dans leur contexte, il analyse ensuite leurs principes formels sous-jacents : la forme sonate, le phrasé, le tempo, l'utilisation de la pédale, les limites du clavier au temps de beethoven.
Chacune d'entre elles fait alors l'objet d'une étude à part, appuyée sur des exemples extraits des partitions d'origine : depuis celles de 1790, auxquelles le jeune compositeur a dû sa célébrité, jusqu'aux chefs-d'oeuvre des années 1810 destinés aux grands concerts publics, pour finir par la dernière sonate en do mineur, opus 111, de 1822. le disque joint, enregistré par charles rosen, vient étayer son propos avec des passages significatifs de ces sonates et d'autres provenant de mozart, de haydn et de schubert.
L'ouvrage de Maynard Solomon fut salué dès sa sortie comme une relecture exceptionnelle de la vie, de la personnalité et de l'oeuvre de cet énigmatique génie que fut Beethoven. Traduit en sept langues, il est considéré par les spécialistes beethovéniens comme la biographie moderne de référence du compositeur. Le voici à nouveau dans une édition révisée, mise à jour et augmentée à la lumière des plus récentes découvertes.
Aux termes d'une véritable enquête menée avec la rigueur du détective, l'objectivité du scientifique, et les outils du musicologue et du psychanalyste, Maynard Solomon scrute la personnalité complexe et si profondément humaine du compositeur, mettant en lumière tout un noeud de fantasmes extravagants autour de sa naissance et de ses origines familiales. Il analyse d'un oeil critique cette poignante et célèbre confession de sa surdité qu'est le Testament d'Heiligenstadt et reconstitue l'exacte évolution de ce terrible mal. Il élucide par ailleurs certains mystères de sa vie, en particulier l'identité de la célèbre « immortelle bien-aimée » ; il livre également certaines clés de son étrange comportement notamment dans ses relations avec son neveu et fils adoptif Karl et dans celles vouées à l'échec avec les diverses femmes issues de l'aristocratie dont il tombe successivement amoureux.
Il n'en éclaire pas moins l'arrière-plan social de sa vie, particulièrement ses conflits avec ses employeurs et ses mécènes, sa conquête des salons de l'aristocratie viennoise ou son cheminement idéologique et sa fascination pour les figures successives de Bonaparte et de Napoléon. Et ceci pour nous faire découvrir sous un jour entièrement neuf les liens intimes et souvent obscurs qui relient cette vie traversée de crises personnelles à une évolution stylistique et une création musicale d'exception, particulièrement innovante, dont sont fort clairement retracées ici les diverses étapes et caractérisées les lignes de force.
Maynard Solomon est actuellement reconnu comme l'un des meilleurs spécialistes de la vie et de l'oeuvre de Beethoven auquel il a consacré quatre ouvrages et de nombreux articles. Détenteur de nombreux prix, il a enseigné la musique dans les plus grandes universités américaines (Columbia, Harvard et Yale). Il est conseiller aux Archives Beethoven à Bonn.
"Peut-être y a-t-il des musiciens plus grands, ou meilleurs. Mais le seul Beethoven à tout instant de sa meilleure musique nous communique l'urgence qui est en lui, de convaincre, d'entraîner. Du pouvoir des formes, du prestige du chant il n'attend rien, mais tout de sa conviction, qu'il a le génie de transmuer en force tout court. Il ne séduit pas, n'enjôle pas. Il prend. Beethoven est une prise. L'emprise ne se desserrera pas."
Beethoven, " géant de la musique ", a suscité une abondance d'études et de commentaires.
Brigitte et jean massin ont souhaité offrir, sous une forme aisément consultable, un outil de connaissance à ceux qui, comme eux amoureux passionnés de sa musique, désiraient en savoir davantage sur elle et sur l'homme qui l'avait écrite, afin de la comprendre et de l'aimer mieux encore. cet ouvrage réunit une biographie critique rassemblant documents de première main et témoignages, et une étude de l'oeuvre qui ne rebute pas l'amateur par un excès de termes techniques.
Reliant les créations du musicien à la connaissance de sa vie et à celle de son époque, les auteurs ont réussi à éclairer l'individualité du génie de beethoven, qui devient de plus en plus proche et fraternel à chaque lecteur.
Surprenante biographie qui se révèle fréquemment cocasse, en dédramatisant le personnage de Beethoven souvent présenté comme une fi gure tragique, isolée par son génie et sa surdité.
Alors qu'il était le contraire de tout cela, plein d'humour, un peu enfantin et assoiff é de contacts humains.
Révélation : ce livre donne la probable réponse à un fait jusquelà inexplicable : Beethoven n'a jamais pu dépasser le stade de l'addition (et encore, en se trompant).
Une bio qui permet enfi n d'écouter des extraits commentés et décryptés de pages très connues mais aussi d'oeuvres tout aussi magnifi ques mais peu jouées du compositeur.
Dès 1818, Beethoven étant devenu sourd, il fallut recourir à l'écriture pour s'entretenir avec lui. Sur des « tablettes » qui restaient à portée de sa main, ou dans des carnets qu'il conservait toujours dans ses poches, ses amis, ses proches, ses visiteurs écrivaient questions ou réponses, grâce auxquelles nous connaissons aujourd'hui ses propos quotidiens.
Ces onze mille pages d'entretiens, si divers par les interlocuteurs, amis ou étrangers, qui les tracent hâtivement, mais dont le protagoniste est presque toujours absent, ressemblent assez à une conversation dont on n'entendrait qu'une voix. Il s'y mêle aussi des apartés de Beethoven, des réflexions et des notes assez développées. Il lui arrive même de jeter sur ces feuillets quelques notations musicales.
Ce document exceptionnel, où il est question entre autres de vie quotidienne, des événements du temps, de politique, de lectures, et de musique, nous offre un accès unique à l'intimité du compositeur.
Pour une toute première découverte de la musique Beethoven ! Les images tendres de Charlotte Roederer avec les extraits des plus grandes oeuvres de Beethoven : - Lettre à Elise - Symphonie n°5 - Sonate "Printemps" - Symphonie n°6 (dite la Pastorale) Concerto pour piano n°3 - Symphonie n°7 Sur chaque double, un jeu de "cherche et trouve" pour apprendre en s'amusant
Une première découverte de Beethoven, compositeur mis à l'honneur en 2020 et servi par les délicates illustrations de Delphine Renon.
Au programme de ce livre sonore, de la douceur et de la joie mêlées avec : la Sonate au clair de lune, le Concerto pour violon, la Lettre à Elise, la Sixième Symphonie et l'Ode à la joie.
Mon premier livre sonore à la découverte de Beethoven !
Avec ses puces sonores ce recueil est unique. Sur chaque page, l'enfant recherche dans l'illustration le petit bouton qui déclenchera la musique.
Une illustration joyeuse accompagne une interprétation des airs les plus connus destinés aux enfants. En écoutant , le petit peut observer les détails de l'image tout en étant autonome.
Il retrouvera au fil des pages :
L'hymne à la joie ; La marche turque ; La symphonie pastorale ; Le concerto pour piano en Ré majeur ;
Le menuet en Sol majeur et la célèbre Lettre à Elise
Une collection de livres brochés de 32 pages qui renferment un épisode de la vie d'un personnage célèbre, historique ou légendaire, raconté comme une histoire : ici, l'incroyable vie de Ludwig Van Beethoven, l'un des plus grands musiciens de tous les temps, devenu sourd à 27 ans ! En fin d'ouvrage, un dossier historique illustré pour aller plus loin.